Zusammenfassung
Die Verfassung von 1946 hat Schwarzafrika integriert, jedoch den Territorien keine Departementsstruktur — wie den Vieilles Colonies -, sondern einen Sonderstatus verliehen, der eine administrative Dezentralisation und mit den gewählten Territorialversammlungen auch eine politische Mitwirkung der ehemaligen Eingeborenen gewährleisten sollte. Es handelte sich dabei um eine Art Kompromiß zwischen einer vollen Assimilation mit entsprechender Parlamentsvertretung, die nicht möglich und nicht angezeigt erschien, und einem Autonomiestatut, das als Vorstufe der «sécession » der französischen Konzeption einer Plus grande France wiedersprach.
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Literatur
Borella zählt p. 185 u. a. auf: Beamte, Militärs, Leute mit einem Automobilführerschein, Notables évolués. Voraussetzung war in jedem Falle die Fähigkeit, entweder Französisch oder Arabisch lesen zu können, was der Administration ein politisch nicht uninteressantes Kontrollrecht einräumte.
Das Doppelwahlkollegium galt nicht in Senegal.
Teitgen (MRP) wies im Parlament am 20. 3. 1956 darauf hin, daß der Senegal im vergangenen Jahr ein Budget von 6 Mrd. gehabt habe, davon seien 5,5 bereits festgelegt. J. O. Ass. Nat., p. 1074.
Von afrikanischen Abgeordneten wurde immer wieder geklagt, daß ihre Landsleute trotz vorzüglicher Ausbildung nur schwer eine Anstellung in privaten Unternehmen fänden. Z. B. Senghor: «Mais le drame, c’est que nos ingénieurs ne sont pas placés. J’ai mis trois ans pour procurer un emploi en Afrique à deux ingénieurs de mon territoire sortis de l’école supérieure d’électricité dont la valeur est bien connue.» J. O. Assemblée nationale 22. 3.1956, p. 1193.
Kenneth Robinson, French Africa and the French Union, in: Africa to-day, ed. Haines 1955, p. 325.
Ansprenger, p. 101 f. Claude Bourget, Les élections Outre-Mer, in: Temps modernes, Aug. 1951.
43 Abgeordnete repräsentierten eine Bevölkerung von 30 Millionen: ein Abgeordneter kam in Übersee auf 520 000 Einwohner, in der Metropole auf 79 000. Die überseeische Repräsentation (Algerien und die Weißen inbegriffen) machten 13 % des Parlamentes aus. Bei proportionaler Repräsentation hätte Algerien 100, die restl. Überseegebiete 400 Abgeordnete erhalten. Borella, p. 187 f.
Ansprenger, p. 115 f.
J. O. Ass. Nat. 9. 4. 1954, p. 2027.
Der Innenminister Martinaud-Déplat (vgl. S. 477) beruft sich in der Debatte denn auch auf die République une et indivisible und erklärt: «Le Gouvernement tient donc à proclamer solenellement (!) que toute atteinte à Pun quelconque des éléments de la République française mettrait en cause les principes même de sa souveraineté nationale et qu’il ne saurait, en aucun cas, en accepter la discussion.» P. 2017.
Hubert Deschamps, L’éveil politique africain, 1952, p. 92. Der Hochkommissar in Madagaskar Chevigné soll schon 1947 in einer Ansprache auf das Fehlen einer »vie municipale« hingewiesen haben. Während man Afrikaner als Abgeordnete nach Paris entsende, blieben ihnen die lokalen Angelegenheiten verschlossen.
Henri Labouret, Colonisation, Colonialisme, Décolonisation, 1952, p. 119.
Ansprenger, p. 241 ff. L. Gray Cowan, Local Government in Westafrica, 1955, p. 112 f.
Le probléme des chefferies en Afrique Noire française. Notes et Etudes documentaires Nr. 2508, 1959, p. 16.
Deschamps, L’eveil, p. 97. Labouret, Colonisation, p. 184 f.
Deschamps, p. 99. Ansprenger, p. 120.
«Il est des cas où il faut se battre jusqu’à la mort. Car l’application de ces textes qui va en Afrique élever les prix de revient déjà exorbitants, risque d’avoir des conséquences irréparables. Demain il faudra se battre au Parlement... contre l’extension de nouvelles mesures sociales généreuses en apparence mais qui ruineraient le pays.» Jean Foulon, Les Français sont un peu fous, in: Climats, 28. 5. 1952.
Ansprenger, p. 236.
Ansprenger, p. 108 ff., Hailey, African Survey 1956, p. 1193 f. Deschamps, p. 87.
Die wirtschaftliche Bedeutung der Überseegebiete für die Metropole war in der Tat groß. Outre-Mer erspare Frankreich 250–300 Mill. Dollar im Jahr, sagt Moussa. 1954 stammten 26 % der Importe aus den Überseegebieten (ohne Indochina), während 31 % der Exporte dahin gingen. Pierre Moussa, Les changes économiques de la communauté franco-africaine, 1957, p. 27, 34.
Ansprenger gibt p. 105 eine Aufstellung für den Zeitraum 1947–1957 (Zahlen = Mrd. Franken des Mutterlandes) AOF AEF Infrastruktur 109,82 47,89 Soziale Investierungen 40,85 16,13 Produktive Investierungen 59,59 18,28
Moussa, p. 125 f.
So macht der Unterausschuß »Intégration métropole-Outre-Mer in einem Bericht an das Commissariat général du Plan darauf aufmerksam, daß die Abnahme afrikanischer Produkte zu überhöhten Preisen 1952 den Betrag von 12,5 Mrd. ausgemacht habe. Anderseits weist der — französische — Präsident des Grand Conseil der AOF 1953 kritisch darauf hin, daß die Importe aus Frankreich 40 % über Weltmarktpreisen lägen — wie soll sich die AOF gegen afrikanische und asiatische Konkurrenz halten können. «La fidélité de l’AOF n’est menacée que par les hauts prix français.» Le Monde 29. 4. 1954, zit. René Servoise, Introduction aux problèmes de la République française, in: Politique étrangère 1954/4, p. 394, 403. Moussa schätzt die Belastung der »pays d’outre-mer« auf 20 Mrd., p. 83.
Moussa, p. 123. 1957 sollen AOF und Togo für 940 Mill. Tomatenkonserven (!) eingeführt haben, aber nur für 230 Mill. Werkzeugmaschinen, Robert de Montvalon, in: Dokumente 1958/14, p. 367.
2. B. Senghor in der Assemblée nationale am 8. 4. 1954, p. 1913. Linkspublizistik: Marcel Willemns, Un bilan de la colonisation française: L’économie de l’Afrique noire, in: Temps modernes 1955/10. J. Dresch (Prof. an der Sorbonne), Questions Ouest-Africaines, in Revue politique et parlementaire 199/1949.
J. O. Ass. nat. 21. 3. 1956, p. 1108 f.
J. O. Ass. nat. 29. 1. 1957, p. 367, ähnlich Mamadou Dia (Senegal) am 30. 1. 1957, p. 423.
Am 1. 3. 1956 zit. Borella, p. 268, «Ne laissons pas s’acréditer l’idée inexacte que notre Parlement ne s’occupe des peuples d’OM que quand le sang coule. Prouvons que nous savons agir autrement que sous la conduite des événements.» Defferre am 21. 3. J. O. 1108. Es wird allerdings einmal mehr festgestellt, daß sich offenbar nur wenige Abgeordnete für überseeische Fragen interessieren, 20. 3. 1956, p. 1079.
Diese eigenartige Lösung basiert auf einem Kompromiß zwischen Regierungsentwurf, die die Ernennung der Hälfte der Mitglieder durch den Gouverneur vorsah und den Forderungen der Afrikaner nach einem verantwortlichen Kabinett. Africanus, L’Afrique noire devant l’indépendance, 1958, p. 13–18. Ein Beispiel afrikanischer Kritik am Regierungsvorschlag bietet auch Apithy im Combat 29. 1. 1957.
Maurice Duverger, in: Le Monde, 6. 2. 1957.
Im gleichen Sinn auch Mamadou Dia (später Ministerpräsident des Senegal): «il existe des fédérations (AOF, AEF). Nous demandons tout simplement que l’on tienne compte de ces réalités et qu’on ne démantèle pas ces fédérations.» J. O. 30. 1. 1957, p. 398.
J. O. 29. 1. 1959, p. 372 f. «La République une et indivisible» au sens de l’Etat unitaire et centralisateur — c’est par là que je vais terminer — a été, au XIXe siècle, une exigence nationale: Elle a fait la force de la France, et les volontaires avaient raison d’aller à la bataille à Valmy en criant: Vive la Nation ! Mais nous sommes aujourd’hui en 1957, au XXe siècle, à l’heure où les états et les empires les plus forts sont de structure fédérale: USA, URSS., Inde, Canada, Brésil, Allemagne occidentale, Yougoslavie et, plus près de nous l’Angleterre qui va donner l’indépendance à la Gold Coast au sein du Commonwealth, lequel à cessé d’être britannique. Fédérer effraye certains membres de l’Assemblée. Mais, mes chers collègues, fédérer n’est pas séparer. Fédérer, au sens éthymologique du mot, c’est lier, mais sans étouffer, on l’oublie trop souvent. S’accrocher au mythe de la «République une et indivisible» car c’est un mythe, sans quoi il y aurait dans cette Assemblée trois cents députés noirs et arabo-berbères (Très bien! très bien! au centre.), s’accrocher à ce mythe c’est, je le crains, travailler à l’abaissement de la France. C’est pratiquer l’immobilisme le plus stérile. Je vous dis que la France est un arbre vivant: ce n’est pas du bois mort promis à la cognée. Quand vous aurez disloqué les fédérations d’Afrique noire, craignez que les territoires ne se tournent l’un vers Lagos, l’autre vers Accra... M. Sourou-Migan Apithy, rapporteur. Mais non! M. Leopold Sedar Senghor. Mon cher collègue, je vous écoute... Craignez, dis-je, que si l’on balcanise les fédérations d’Afrique noire, les territoires ne se tournent l’un vers Lagos, l’autre vers Accra, un troisième vers Rabat. Dakar et Brazzaville, avouez-le, sont tout de même plus françaises, puisque c’est de la France que vous avez souci. Quand les enfants ont grandi, du moins en Afrique noire, ils quittent la case des parents et construisent à côté une case, leur case, mais dans le même carré. Le carré France, croyez-nous, nous ne voulons pas le quitter. Nous y avons grandi et il y fait bon vivre. Nous voulons simplement, monsieur le ministre, mes chers collègues, y bâtir nos propres cases, qui élargiront et fortifieront en même temps le carré familial, ou plutôt l’hexagone France.» (Applaudissements sur plusieurs bancs au centre).
Senghor sagte in einem Interview: «Nous estimons que préconiser l’autonomie des territoires, c’est ne pas vouloir cette autonomie. En effet les < Européens > pensent que 43 Millions de Français ne peuvent résoudre les grands problèmes politiques et économiques qui se posent en 1957. Comment 3 millions de Soudanais ou simplement 600 000 Mauritaniens le pourraient-ils? Dans le cadre d’une république fédérale française, une AOF de 20 millions d’habitants en face de la métropole peut constituer un ensemble équilibré et faire épanouir sa personnalité. Une Côte d’Ivoire ou un Sénégal de 2 millions d’habitants ne le peuvent pas. C’est pourquoi nous considérons que la loi cadre est une régression dans la mesure où elle balcanise les fédérations d’Afrique noire. Cependant cette loi cadre peut être un instrument d’émancipation si les Africains le veulent» Le Monde 2. 2. 1957 Vgl. auch André Blanchet, l’itinéraire de partis africains depuis Bamako, Tribune libre Nr. 31, 1958, p. 86: «Dans la République fédérale française il faudra que règne un certain équilibre; or, en face d’une métropole de 44 millions d’habitants, une AOF de 20 millions et une Algérie de 10 millions d’habitants, c’est encore trop faible.» Zudem das Gespräch zwischen Senghor und Teitgen, Ce que veulent les Africains, in: France-Forum, Dez. 1957, p. 16 f.
J. O., p. 371. Audi Diawadou Barry (Abgeordneter von Guinea) spricht von den «inutiles gouvernements généraux et leurs organismes de renforcement que sont les grands conseils. Les premiers ne devraient plus être depuis longtemps déjà que de simples organismes de coordination.» J. O. 20. 3. 1956, p. 1071. Barry nimmt damit den Begriff der Koordination vorweg!
Darüber ausführlich Blanchet, L’itinéraire, p. 82 ff.
Der gut informierte Africanus berichtet: «Tout, ou presque, y poussait: les Assemblées Territoriales qui se font les interprètes de tous les particularismes ancestraux ou récents; les hommes politiques, les Gouverneurs et les Chefs de services locaux, mus par le goût de l’action et des responsabilités ou par la simple vanité d’être < les premiers en Province, plutôt que les seconds à Rome >; les représentants des intérêts privés qui pensaient, non sans raison s’assurer plus facilement d’un pouvoir plus proche d’eux et plus facilement maniable; le Ministère de la France d’OM, enfin, qui, sentant son existence menacée a cherché des consolations dans la multiplication de ses enfants...» P. 76.
Blanchet, p. 95 f.
P. 85.
J. O., 20. 3. 1956, p. 1075.
Die Rechte applaudiert z. B. den gegen Senghor gerichteten Äußerungen. J. O., 30. 1. 1957. Ein Repräsentant der Rechtsparteien wie Roger Ducket bezeichnet den «fédéralisme» von Bamako als »le moyen le plus sûr de briser l’Union française et de perdre la France«. Blanchet, p. 131.
Eine Kommission der Assemblée der Union Française hat in ihrem Bericht Ende 1956 die Konzeption einer Föderation scharf kritisiert: weder historische, ethnische noch wirtschaftliche Gründe legten eine solche nahe. Die Gefahren einer Balkanisation wurden bagatellisiert, da die Institutionen der Republik »garantissent tout ensemble aux territoires la gestion de leurs propres affaires et la participation à la vie d’une grande puissance«. Zit. Colin Newbury, The Government general and political change in French West Africa, in: African Affairs No. I. St. Antony’s Papers No. 10, ed. K. Kirkwood, p. 1961; p. 56.
Ansprenger, p. 249. Kritisch nur die radikalen Studentenorganisationen (FEANF), die die Loi Cadre als »un leurre« abtaten. Blanchet, p. 120.
Senghor wendet sich allerdings dagegen, daß das Radio zum »service d’état« erklärt worden sei; das Argument mit dem Staatsmonopol sei nicht stichhaltig, Frankreich wolle sich das Propagandainstrument vorbehalten. 31. 1. 1957. Die Universität Dakar sei aus bloßen Prestigegründen gebaut worden. «Nous préférions que l’on envoyât nos étudiants en France, dans les universités françaises.» (!) 31. 1. 1957, J. O., p. 445.
René Malbrant, weißer Abgeordneter vom Tschad, z. B., polemisiert gegen das Collège unique; die investierten Kapitalien seien bedroht; zum Glück spreche man noch nicht davon, die paritätische Repräsentation auch in Algerien aufzugeben. J. O., 20. 3. 1956, p. 1080. Hinweis auf Algerien wiederum 30. 1. 1957. André Roger Sanglier (Kolonialfranzose aus Madagaskar) richtet sich ebenfalls gegen das College unique; wie wollte sich die Regierung gegen subversive Propaganda schützen? Ist man dazu bereit oder treibe man Harakiri?
Senghor, Pour une communauté franco-africaine, in: Cahiers de la République 1957/7.
Texte der Resultation im Anhang zu Blancbet, p. 187. Eine ähnliche Äußerung von Lisette, Vizepräsident der RDA, Après Bamako, in: Cahiers de la République 1957/10, p. 33.
Im genannten Gespräch zwischen Senghor und Teitgen, Ce que veulent les Africains, in France-Forum Dez. 1957. Die Metropole könne einen echten Föderalismus nach dem Vorbild der USA oder der Schweiz nicht akzeptieren, solange sie die finanziellen Lasten nicht nur des Ganzen, sondern auch der Territorien trage.
J. O., 30. 1.1957, p. 408.
P. 270.
P. Lampué, Pour une réforme de l’Union française, in: Cahiers de la République, 1957/7.
Blanches p. 126.
La peur des mots, in: Le Monde, 6. 2. 1957.
2. B. Senator Léon Hamon (MRP), Sur le pont d’Abidjan, in: Revue politique et parlementaire 1958/224. Man solle eine klare Situation schaffen und den bisherigen Vizepräsidenten die Leitung der territorialen Regierung übernehmen lassen; zudem sei eine »orientation fédérale« notwendig, denn sonst »nous laisserions les mystiques(!) s’orienter ailleurs — vers l’indépendance et l’exemple du Ghana: L’incapacité du Parlement français de réaliser cette réforme du titre VIII dont on parle depuis des années, ne peut du reste que produire un effet déplorable«. P. 329. Dergl. La mise en place des pouvoirs politiques en Afrique Noire, in: Cahiers de la République 1957/7. Zudem: Mauric H. Lenormand, La loi-cadre et la réforme constitutionelle vues à travers quelques structures fédérales contemporaines«, in: Revue politique et parlementaire 1957/223.
2. B. weist Teitgen darauf hin, in: France-Forum, p. 20.
2. B. Georges Chaffard in Le Monde, 30. 1. 1957: Er lehnt die Thesen Senghors und Houphouet-Boignys ab und postuliert die offene Anerkennung des »droit à l’indépendance«; erst dann könne man »sur une base d’égalité... une solution finale de type confédéral très élargi« vorbereiten. Wichtig zudem die bereits genannte Schrift von »Africanus«. Der gut informierte Autor analysiert die französische Hemmung, sich mit der Unabhängigkeit der afrikanischen Territorien auseinanderzusetzen: «Deux erreurs égarent ici une bonne partie de l’opinion française. La première est de confondre indépendance et sécession; la seconde est de croire qu’il est possible de contrarier et de retarder longtemps, par l’artifice des lois, ce que nos propres principes, et la nature des choses nous commandent non seulement d’accepter mais encore de conduire avec intelligence et décision, jusqu’à son terme.» P. 57. Diese Barriere müsse genommen werden, bevor etwas Neues entstehen könne, das nicht zuletzt auf technische Hilfe und gegenseitigem Interesse beruhe. Die Loi Cadre sei eine zu ängstliche Konzession gewesen, und man wäre besser vom Status Togos ausgegangen. Eine lose Föderation könne noch immer entstehen. «Ainsi conçue l’indépendance politique des pays d’outre-mer ne s’oppose nullement à la constitution d’un vaste monde français, organisé comme une association vivante de peuples divers jouissant chacun de leur autodétermination et liés les uns aux autres moins par la force contraignante des lois ou des traités que par la claire conscience des avantages de leur communauté.» P. 61.
Problèmes constitutionals, in: Cahiers de la République 1957/10, p. 39.
Neben dem eben genannten »Africanus« und Chaffard auch Blanchet, p. 138, 156. Ders. Commonwealth et Union Française, in: Marchés tropicaux (neuer Name für Marchés coloniaux), 31. 8. 1957. R. de Lacharrière, Revision constitutionelle et fédérale. Théories et Illusions, in: Le Monde, 25. 10. 1957.
Blanchet, p. 141. Der Senegalese d’Arboussier, Präsident des Grand Conseil der AOF beruft sich auf Mitterands »Table ronde«; »sur un plan paritaire« könne ein Etat fédéral de la Communauté franco-africaine« entstehen. Le Monde, 12. 4. 1958.
Zit. Blanchet, p. 139. Im gleichen Sinne auch ein Leitartikel der Marchés tropicaux: Vers une Communauté franco-africaine, 16. 11. 1957.
In den Nummern vom 11. 8.; 18. 8. und 1. 9.
3. Aufl. 1958, p. 53.
Dies wird vom gut informierten Blanchet behauptet, L’itinéraire des partis africains depuis Bamako, 1958, p. 176.
Cahiers de la Fondation Nationale des Sciences Politiques, 1957.
U. a. der wichtige Abgeordnete Lisette auf dem Kongreß von Bamako, Blanchet, p. 178.
30. 8. 1958, zit. Ansprenger, p. 259.
Blanchet erwähnt einen Gewerkschaftsführer, p. 176. Eine sozialistische Gegenposition bei J. Ries, L’heure de la lucidité IV, conséquences de la colonisation pour les métropoles, in: Revue socialiste 1957, p. 261 f.
Ansprenger, p. 259.
Paris-Match, 19. 2. und 7. 3. 1964.
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von Albertini, R. (1966). Schwarzafrika und die Loi Cadre (1946–1956). In: Dekolonisation. Beiträge zur Kolonial- und Überseegeschichte, vol 1. VS Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden. https://doi.org/10.1007/978-3-322-98922-2_27
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