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Lyautey und das Protektorat in Marokko

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Dekolonisation

Part of the book series: Beiträge zur Kolonial- und Überseegeschichte ((BKÜ,volume 1))

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Zusammenfassung

Das Protektorat als Instrument französischer Kolonialpolitik und als Konzeption und Doktrin, die sich grundsätzlich von Integration und Assimilation unterscheidet, ja im Gegensatz zu diesen steht, ist unlösbar mit der Person und dem Einfluß Marschall Lyauteys verbunden, dem bedeutendsten Prokonsuln Frankreichs241. 13 Jahre lang, von 1912 bis 1925, hat er in Marokko»regiert«, seine Erfahrungen und Vorstellungen schriftlich niedergelegt, einen Kreis von»Schülern«herangezogen und versucht, die Metropole zur Annahme und Fortsetzung seines Werkes zu verpflichten. Lyautey hatte allerdings Vorbilder, von denen er in Verehrung sprach, und er übernahm auch die legale Basis des Protektorates. Wir können von Dupleix’ Vorgehen in Indien im 18. Jahrhundert und von einem Protektorat über Tahiti im Jahre 1843 und ebenso auch von fragwürdigen Verträgen mit afrikanischen Häuptlingen in den Jahren nach 1880 absehen, die von den Juristen als»protectorats intérieurs» bezeichnet werden, aber einen bloß fiktiven Charakter hatten und meist bald in eine »normale« Kolonialverwaltung mit ihrer Tendenz zur Administration directe überführt wurden; wichtiger sind die Protektoratsverträge mit Madagaskar, Indochina (bzw. mit dem Kaiser von Annam und den Herrschern von Kambodscha und Laos) und Tunesien, die zunächst deren Eigenstaatlichkeit anerkannten und nur eine französische Kontrolle etablierten, die diese Gebiete dem Zugriff fremder Mächte entzog und wirtschaftliche Einflußmöglichkeiten sicherstellte.

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Literatur

  1. Als Beispiel diene L’Afrique française; 1934, p. 720: «Au cours de l’année scolaire 1933–34, l’Ecole William Ponty a fourni 57 nouveaux instituteurs du cadre secondaire, 24 élèves à l’Ecole de Médecine et 5 à l’Ecole Vétérinaire. Elle a de plus recruté 80 nouveaux élèves par voie de concours.L’Ecole des Pupilles Mécaniciens de la Marine a compté 45 élèves, dont 12 de 3e année ont obtenu le diplôme de sortie.L’Ecole de Medicine de Dakar a recruté 22 élèves-médecins, 2 élèves-pharmaciens, 15 élèves sages-femmes, 15 élèves infirmières-visiteuses. L’Ecole Vétérinaire de Bamako a recrute 5 élèves vétérinaires.Ces divers établissements dispensent des formations techniques. Au-dessous d’eux existent des Enseignements Primaires et Professionnels fonctionnant au chef-lieu des diverses colonies. En 1934 les 8 écoles primaires supérieures ont été fréquentées par 930 élèves contre 974 en 1933. Par une mesure de prudence que l’on ne saurait trop louer, les effectifs ont été volontairement réduits cette année pour éviter que des jeunes gens, sans emploi à leur sortie, par suite de la diminution des débouchés offerts maintenant par le commerce, l’industrie et l’administration, ne deviennent des déclassés.»

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  2. Robert Delavignette, L’Afrique noire française et son destin, 1962, p. 99.

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  3. Aus der umfangreichen Literatur über Lyautey nennen wir nur: Jean Dresch, Lyautey, in: Les techniciens de la colonisation, ed. Ch. A. Julien, 1947

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  4. und Gen. Catroux, Lyautey le Marocain 1955.

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  5. Dies kann vor allem im Falle Tunesiens gezeigt werden, vgl. /. Ganiage, Les origines du protectorat français en Tunisie (1868–1881), 1959. Dazu auch die Bemerkungen Henri Brunschwigs Mythes et Réalités de l’Impérialisme colonial français 1871–1914, 1960, p. 53 f.

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  6. Art. 1: Afin de faciliter au Gouvernement français l’accomplissement de son Protectorat, S. A. Le Bey s’engage à procéder aux réformes administratives, judiciaires et financiaires que le Gouvernement français jugera utiles.

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  7. Einige Zitate bei Gonidec., p. 216.

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  8. 2. B. Gonidec., p. 208 f.

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  9. Lyautey l’Africain, textes et lettres du Maréchal Lyautey ed. Pierre Lyautey, vol. IV, 1919–1925, 1957, p. 28.

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  10. Lyautey, Paroles d’action (1900–1926), 3. ed. 1933, p. 172.

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  11. Vgl. die eindrucksvolle Begegnung Hugo von Hofmannsthals mit Lyautey:»Auch das neue Frankreich, das ich hier wahrnahm, habe ich liebgewonnen. Der alte Marschall Lyautey kam mir mit einer großen Freundlichkeit entgegen. Er ging sehr schnell, ja lief eigentlich durch den großen Saal auf mich zu, nahm meine Hand in seine und sagte: «Monsieur, vous êtes chez vous — vous êtes dans votre maison, et voici pourquoi: je commande ici, je suis Lorrain, vos empereurs ce sont mes ducs, et je regarde la destruction de l’Autriche comme le crime le plus déplorable.» Dann stellte er mir mit außerordentlicher Grazie seine jungen Herren vor. Ich freue mich sehr, ihn und diese alle — eine Elite von jungen Offizieren und Beamten, von denen ich mich schon auf dem Schiff mit einem befreundete — in Rabat; wiederzusehen.«Brief aus Marrakesch, 15. 3. 1924, Briefwechsel mit Carl J. Burckhardt, 1956, p. 182.

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  12. Paroles d’action p. 469.

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  13. A.a.O., p. 7. Zudem Ansprache in London vor der African Society, Journal des Débats 6. 12. 1928.

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  14. Textes et lettres vol. I, 1953, p. 220.

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  15. Der Feudalismus verliert aber gleichzeitig seinen ursprünglichen Sinn und verbindet sich mit Methoden des Nepotismus, Erpressung und bloßen wirtschaftlichen Ausbeutung. Vgl. Berque, Le Maghreb entre deux guerres, 1962, p. 42.

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  16. Vol. IV, 14 f., 157 f. Robert Montagne, Révolution au MaroC., 1953, p. 143.

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  17. Vgl. z. B. das Dokument von 1922, das Hardy in l’Afrique française, Aug. 1934 publiziert hat.

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  18. Am 20. Mai 1921: Dès l’origine, j’avais notifié mon intention de voir les meilleurs, après études faites, faire un stage dans les divers services résidentiels. J’y suis revenu à plusieurs reprises, mais je me suis heurté là à une inertie pour ne pas dire à une répugnance, telles qu’il n’en a rien été fait. Vol. IV, 131.

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  19. Die Colons seien»imbus de la mentalité algérienne«, ohne Verständnis für den Stolz und die Rechte des Landes. Wobei Lyautey kritisch auf die Worte des Präsidenten der Landwirtschaftskammer von Casablanca verweist, vol. IV, 19.

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  20. 5. 12. 1923, Paroles d’action p. 397.

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  21. Das Kollektiveigentum der Stämme und Dörfer wurde legalisiert, gleichzeitig aber auch die Abtretung eines Teiles an den Staat zum Zweck der Kolonisation ermöglicht. Anderseits konnte mit Majoritätsbeschluß das Kollektiveigentum in privates aufgeteilt werden, wobei sich der Staat einen Teil reservierte.

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  22. Am 24. 11. 1919: Eine Konsequenz des Protektorates sei, »que les institutions politiques françaises n’ont pas de place au Maroc. Nos nationaux peuvent y avoir des organismes et une représentation professionelle, mais ne peuvent y avoir une représentation politique. Les revendications et les polémiques à ce sujet ne représentent donc que de l’encre gâchée et du temps perdu«. Paroles d’action p. 300. Nochmals in einer Abschiedsansprache vor dem Conseil de Gouvernement am 5. 10. 1925, p. 428.

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  23. So protestiert Lyautey in einem Brief an den Ministerpräsidenten Millerand vom Juli 1920 gegen bestimmte Formulierungen des parlamentarischen Berichterstatters, der u. a. von der Errichtung eines»regime normal«sprach. «Que veut-on de plus? sous le nom de < régime normal > n’est-ce pas simplement le régime électoral des départements français que l’on envisage? Je me permettrai de dire alors que, loin d’être un régime normal pour le MaroC., ce serait le régime le plus anormal.» Vol. IV, 48 ähnlich Paroles d’action p. 389.

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  24. P. 172 f, 373, 398 vol. IV, p. 26.

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  25. wir zitieren den längeren Text aus dem Jahre 1916, da er gleichzeitig Layauteys Protektoratskonzeption enthält:«Le Maroc est un Protectorat. Mais ce mot, qui contient pourtant une doctrine coloniale grande et simple, est regardé le plus souvent comme une étiquette et non comme une vérité: on y voit, sinon un mensonge, du moins une formule théorique, une formule de transition, destinée à disparaître après des modalités successives. Et ce sentiment est tellement fort, qu’au Maroc comme ailleurs, avant la guerre, on résistait avec peine, et déjà presque sans conviction, à cette poussée, que beaucoup croient fatale, vers le gouvernement direct, vers l’annexion de fait précédant l’annexion légale. La guerre nous a fait une nécessité politique absolue de changer de voie; et cette expérience nouvelle, commencée dans un sentiment de prudence, a pleinement réussi. Le Protectorat apparaît ainsi, non pas comme une formule théorique et de transition, non pas même comme une formule, mais comme une réalité durable: la pénétration économique et morale d’un peuple, non par l’asservissement à notre force ou même à nos libertés, mais par une association étroite, dans laquelle nous l’administrons dans la paix par ses propres organes de gouvernement suivant ses coutumes et ses libertés à lui. C’est dans ce sens que s’est orientée franchement et définitivement notre politique. On s’est attaché d’abord à rehausser le prestige personnel du Sultan, en faisant revivre autour de lui les anciennes traditions et le vieux cérémonial de la cour, à garantir scrupuleusement l’autonomie de son pouvoir religieux, à raffermir sa confiance et son autorité en l’associant à nos projets, en sollicitant ses réflexions et ses avis. La Maghzen a été associé plus étroitement chage jour au gouvernement. Son rôle, avant la guerre, s’était réduit insensiblement, et par la force même de nos habitudes administratives, à un simple droit de veto sur les projets qui lui étaient communiqués. Il possède aujourd’hui, en fait, un véritable droit d’examen et son initiative même est sollicitée dans bien des cas. Le Conseil des Vizirs est devenu une institution vivante, un organe normal de l’Administration. Tous nos projets y sont exposés, expliqués, dans leur esprit et dans leur tendance. L’administration des biens habous s’exerce de même sous le contrôle effectif d’un Conseil... Enfin partout, dans les provinces, on s’est efforcé de donner aux indigènes, non pas un pouvoir de façade, mais une part effective dans l’administration et une véritable autorité pour la garantie de leurs coutumes et de leurs libertés.» Rapport général sur la situation du Protectorat au Maroc vom 31. 7.1914,1916, p. XIII f.

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  26. Vol. IV, 25 f.

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  27. Vgl. auch Bericht vom 21.12.1920, p. 102 f.

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  28. Wiederum am 20. 5. 1921, p. 131 f.

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  29. Vol. Ill, p. 68 (1918).

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  30. Zit. André de Peretti, L’indépendance et la France, in Esprit 1947/4 p. 571. Im Jahre 1961 konnte die konservative Zeitschrift Paris-Match dies zum Ruhm Lyauteys umstilisieren: Photos, die das Abmontieren von Lyauteys Statue in Casablanca zeigten, erhalten den Text: «Lyautey avait prévu l’indépendance du Maroc et c’est grâce à sa < Paix française > qu’au delà des anciennes querelles de tribus l’autorité royale y est aujourd’hui incontestée.» 19. 4. No. 629, p. 148.

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  31. «Nous avons l’administration directe dans la peau, fonctionnaires venant de France, officiers venant d’Algérie.» Vol. IV, p. 30.

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  32. Rom Landau, Moroccan Drama, 1900–1955, 1956, p. 133.

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  33. André Colliez, Notre protectorat marocain 1912–1930, 1930 p. 187.

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  34. So verweist Lyautey z. B. am 5. 12. 1923 auf die 1000 Siedler mit 400 000 ha hin,»Cest bien quelque chose et ces chiffres augmentent tous les jours», — er muß sich verteidigen gegen den Vorwurf, die Kolonisation nicht zu fördern -, fügt dann aber sogleich bei: «Je compte essentiellement sur la population marocaine elle-même» und spricht von den»grands domaines bien cultivés«, die er 1908 angetroffen habe -Worte, die sich offensichtlich gegen die Kolonialfranzosen und ihre Argumente richten. Paroles d’action, p. 398.

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  35. La Paix française en Afrique du Nord, 1926, p. 210.

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  36. Landau p. 135; 1935 sind 840 000 ha in 3822 Betrieben in europäischer Hand, Albert Ayache, Le MaroC., 1956, p. 154. Dazu auch M. M. Knight, Marocco as a french economic venture, 1937, p. 66. Berque, p. 244, 249.

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  37. Knights p. 58, 67. Text einer offiziellen Broschüre aus dem Jahre 1928 zit. Ayache p. 151 f. Kein geringerer als Georges Hardy, der enge Mitarbeiter Lyautey s schreibt 1937: «On prit soin d’interdire aux collectivités indigènes l’aliénation directe de leurs biens et de les placer sous la protection de conseils de tutelle. Mais, dans la pratique, l’usure, les ruses des spéculateurs, la ténacité des colons ont eu raison de toutes les précautions, et l’on peut se demander si, d’un point de vue d’humanité, il n’aurait pas été plus expédient de jouer franc jeu et d’opérer une fois pour toutes le départ entre le domaine de la colonisation et les terres réservées aux collectivités indigènes.» La politique coloniale et le partage de la terre aux XIXe et XXe siècles, p. 380.

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  38. Betriebe mit modernen Anbaumethoden erhielten Steuererleichterungen — was die Siedler aber nicht hinderte, volle Steuerfreiheit zu fordern! Vgl. auch Louis LeBarhier, Le Maroc agricole, 1927, p. 147, 111.

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  39. M. Flory, La notion de protectorat et son évolution en Afrique du Nord, in: Revue juridique et politique de l’Union français, 1954, p. 473.

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  40. Colliez p. 320 Anm., ähnlich für Tunesien: Robert Raynaud, Socialisme et colonies, in: Revue politique et parlamentaire 1925.

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  41. Als Beispiel diene: «La Chambre d’Agriculture de Rabat, le 5 novembre 1927; l’Association des Agriculteurs et Eleveurs de Tadla et d’Oued-Zem, le 15 décembre 1927; l’Association des Colons de Sidi-Sliman, le 5 septembre 1928; les Colons du Nord du MaroC., le 29 septembre, ont protesté vigoureusement contre la politique suivie; enfin, l’Union des Associations du Maroc., comprenant 30 groupements adoptait, le 2 novembre 1928, l’ordre du lour suiv: VOEU considérant: Que depuis plusieurs années il y a une recrudescense marquée de vols et de crimes commis au préjudice des Européens et surtout des indigènes; Que les causes générales de cette inquiétante situation peuvent être attribuées: 1° A l’influence d’une certaine propagande s’exerçant en milieu arabe; 2° A la surveillance insuffisante des tribus par les caïds et les cheiks; 3° A une mauvaise éducation des chefs indigènes et à une action trop peu affirmée, dans certains cas, des contrôleurs civils; 4° A l’emploi d’une justice inadaptée à la mentalité des délinquants et à l’absence des moyens de répression; 5° A l’institution prématurée, en ce pays, de réformes sociales dont le caractère est mal interprété par les populations primitives du bled et qui sont causes d’abus excessifs; 6° «Enfin, peut-être aussi à l’absence d’une politique indigène rationelle et coordonnée. Que la multiplicité des vols à main armée ou des crimes ferait vite retomber ce pays dans l’anarchie où il s’est complu durant des siècles. Qu’un sentiment de révolte latente et de coups de mains est encore fortement ancré dans les moeurs des tribus de l’intérieur et qu’elles doivent être gouvernées en conséquence; Que la sécurité des biens et des personnes constitue un élément primordial de pacification, de travail et de progrès. L’Union des Associations Agricoles du Maroc demande instamment que, parmi les moyens à employer pour remédier à cet état des choses, figure le retour à la responsabilité collective des tribus l’extension de la compétence des caïds pour solutionner les délits de pacage, et trancher les différends concernant les contrats de travail, associations agricoles, etc..., le renforcement de l’autorité des Contrôles civils, lesquels devront mieux tenir en mains les chefs indigènes.Et signale qu’il est indispensable d’arriver «à la pacification complète du Maroc», qu’il y a lieu de prendre des mesures immédiates pour la réorganisation militaire et administrative des régions dites d’insécurité». Zit. Colliez, p. 318/319.

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  42. P. 262.

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  43. René Thomasset, Les problèmes marocains, in: Revue politique et parlamentaire 167/1936.

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  44. Zur Protesthaltung der Siedler 1934 Berque, p. 265 f.

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  45. B. XXX Réalités coloniales, 1934, p. 15: «Le Français... est avant tout et surtout l’homme de l’administration directe. C’est sa voie naturelle, celle qui convient le mieux à son tempérament, à son caractère, à son destin.»

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  46. P. 166. Man dürfe das Prestige des Sultans nicht zu sehr fördern, da er sich einmal gegen Frankreich wenden könnte; p. 498.

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  47. Principes de colonisation et de législation coloniale I, 1927, 5. ed. p. 431.

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  48. P. 50.

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  49. Roger Labonne, Grandeur et Servitude marocaines, in: Le Correspondant 25. 12. 1928, 10. 1. 1929.

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  50. Darüber u. a. Landau, p. 142 f.

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  51. Ch. A. Julien, L’Afrique du Nord en marche, 1952 p. 151 f.

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  52. R. Le Tourneau, Evolution politique de l’Afrique du Nord Musulmane 1920–1961, 1962, p. 189 f. Der alte Lyautey hingegen hat anläßlich eines Bankettes eingeräumt: «Je dois le dire: il y a dans le plan de réformes marocaines quelque chose de justifié.» Catroux, Lyautey, p. 299.

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  53. P. 83.

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  54. Z. B. Thomasset a.a.O., der die Politik der»grands caids«, die Vernachlässigung des Erziehungswesens kritisierte und eine bessere Berücksichtigung der geschulten Elite in der Verwaltung forderte. Änhnlich auch XXX, Les progrès du Nationalisme marocain en milieu berbère, in: Revue politique et parlementaire 176/1938. Robert Montagne, Comment organiser politiquement l’Empire français, in: Politique étrangère 3/1938, p. 176 f. Für Tunesien z. B. Frédéric de Richement, L’avenir de la Tunisie, in: Revue politique et parlementaire 173/1937; ders. l’Islam et la nationalité française 173/1937.

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  55. wir haben gesehen, daß eine verstärkte Kolonisation allenthalben gefordert wurde. Selbst F. Charles-Roux, der Lyautey kannte und dessen Ruhm feierte, konnte schreiben: «Le champ qui s’y ouvre à la colonisation française est vaste.» Le maréchal Lyautey et le Maroc français, in: Revue politique et parlementaire 123/1925, p. 407.

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von Albertini, R. (1966). Lyautey und das Protektorat in Marokko. In: Dekolonisation. Beiträge zur Kolonial- und Überseegeschichte, vol 1. VS Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden. https://doi.org/10.1007/978-3-322-98922-2_22

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