Zusammenfassung
Wir haben die Indirect Rule Lord Lugards skizziert, die der britischen Verwaltung in Westafrika zugrunde lag, in der Zwischenkriegszeit auf weitere Gebiete übertragen und zu einer verbindlichen Doktrin ausgeformt wurde, in den ausgehenden 30er Jahren jedoch auf wachsende Kritik stieß, als zu konservativ erschien und nach dem Zweiten Weltkrieg mehr und mehr durch eine moderne Lokalverwaltung ersetzt wurde. Wie verwaltete Frankreich seine westafrikanischen Kolonien? Wie wurden die traditionellen Autoritäten beurteilt? Welche Bedeutung hatten Begriffe wie Assimilation und Assoziation im Hinblick auf die kolonialpolitischen Absichten in Westafrika?
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Literatur
Les vrais chefs de l’empire, 1939, Neuauflage 1946 mit dem Titel: Service Africain und englische Übersetzung: Freedom and authority in French West Africa, 1950. Das marxistische Gegenbild dazu bei Jean Suret-Canale, Afrique noire, vol. IL L’ère coloniale 1900–1945,1964, p. 398–413.
Le problème des chefferies en Afrique noire française. Notes et Etudes documentaires, Febr. 1959, Nr. 2508. R. Cornevin, L’évolution des chefferies traditionelles dans l’Afrique noire d’expression française, in: Recueil Penant 1961, p. 235 f, 379 f.
«Il n’est pas le continuateur de l’ancien roitelet indigène... Même lorsqu’il y a identité de personne, il n’y a plus rien de commun entre l’état de choses ancien et le nouveau. Le chef de canton, fût-il le descendant du roi avec lequel nous avons traité, ne détient aucun pouvoir propre. Nommé par nous, après un choix en principe discrétionnaire, il est et il est seulement notre auxiliaire.» Rapport eines Kolonialinspektors vom 5. 10. 1950, zit. Corne-vin, p. 380.
R. L. Buell, The native problem in Arfica, 1928, p. 988.
In der AOF gab es 1939 bei 15 Millionen Einwohnern 118 Cercles, 2200 Chefs de canton und 48 000 Chefs de villages.
Delavignette, Chefs de l’Empire, p. 153.
Darüber Buell, a.a.O., p. 993.
Une âme de chef, 1920 enthält das Zirkular p. 38–50. Auszüge auch in Notes et Etudes p. 18.
30. 11. 1929, Documentation coloniale comparée 1929/11, p. 248.
Discours d’Ouverture 1. 12. 1930. Documentation 1930/11, p. 350. Circulaires sur la Politique et l’Administration indigènes, Gorée 1932, Auszüge in Notes et Etudes, 19 f.
Ein Beispiel: Yves Person, Soixante ans d’évolution en pays kissi, in: Cahiers d’études africaines 1960, 1.
Notes et Etudes p. 15.
P. 258. Er nennt den Vorschlag»un peu vite au besogne«. Ähnlich auch eine Erklärung vom 18. 5. 1926, zit. Jean Runner, Les droits politiques des indigènes des colonies, 1927, p. 70.
P. 269.
Vgl. Documentation coloniale comparée 1930/11, p. 478 f.
Six ans, p. 270.
Eben diese Tendenz zeigt auch die Ansprache des Generalgouverneurs ad interium von Madagaskar, Berthier, vor den Delegations économiques et financières am 16. 10. 1929: «Quoi qu’en disent quelques partisans attardés des théories de l’assimilation, en faveur au siècle dernier, mais condamnées depuis par l’expérience et la doctrine, votre assemblée répond et suffit aux besoins présents de la Grande Ile. Sa constitution n’est certes pas parfaite, mais, dans l’intérêt bien compris de ce pays, elle doit évoluer dans son cadre actuel, en se gardant d’y introduire prématurément des éléments politiques qui ne pourraient, à mon avis, que nuire au développement harmonieux de Madagascar et même compromettre l’œuvre civilisatrice dont la France a assumé la charge. Aussi bien, nombre de bons esprits admettent aujourd’hui que les institutions politiques de la vieille Europe, prônées par les uns, critiquées par d’autres, ne répondent pas aux nécessités de la colonisation moderne.» Documentation coloniale comparée 1929/11, p. 339.
In: L’Afrique française 1930/31. Als Sonderdruck herausgegeben vom Comité de l’Afrique française, 1931.
L’Accession des Indigènes à la Citoyenneté française, in: L’Afrique française, 1935, p. 721 f.
«Pour le paysan noir, pour l’esprit africain, in: Esprit Nr..39, 1935, p. 384. Ähnlich auch Sénégal et Niger, in: L’Afrique française, Aug. 1932, p. 481.
Les vrais chefs de l’Empire, p. 141.
«Il ne faut pas oublier, en effet, qu’une nation souveraine ne fixe définitivement la nationalité des peuples qu’elle fait entrer dans sa famille (!) qu’après leur avoir appris à parler sa
P. 250.
Senghor hat seinerseits seinen Beitrag zu La communauté impériale française, 1945, p. 57, Delavignette gewidmet.
Vgl. seine Kritik an den bisherigen Bemühungen: «des villages sans puits, sans abreuvoirs, devant la route aux camions, c’est du pharisaïsme métropolitain», Esprit p. 382.
Les vrais chefs de l’Empire, p. 90.
P. 260.
L’Afrique française, 1920. Renseignements coloniaux, p. 32 und desgl. 1921, p. 100. Generalgouverneur Carde wiederum 1929: «Enseignons donc le français dans les petites classes; apprenons aux enfants à parler et écrire en bon français, afin qu’ils puissent penser en bon français.» Documentation coloniale comparée 1929/11, p. 251.
Zit.: L. P. Mair, Native policies in Africa, 1936, p. 213.
Cmd. 2374 (1925) p. 4.
Als Beispiel einer britischen Stellungnahme kann der berühmte, allerdings aus dem Jahre 1904 stammende Report of the Commission appointed by the Government of India to inquire into the condition and prospects of the University of Calcutta gelten. Die englische Sprache wird als»Pathway leading into a rich intellectual life«bezeichnet, doch bleibe die Muttersprache von größerer Bedeutung. “A man’s native speech is almost like his shadow, inseparable from his personality... it is through our vernacular, through our folk-speech, whether actually uttered or harboured in our unspoken thoughts, that the most of us attain to the characteristic expression of our nature and of what our nature allows» us to be or to discern...”
1939 waren 80 000 Kinder im Enseignement primaire — bei 2,7 Millionen im schulpflichtigen Alter, Michel Devèze, La France d’Outre-Mer, 1948, p. 61.
Es stehen leider noch Untersuchungen über die Afrikanisierung der Kader aus.
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von Albertini, R. (1966). Die »administration directe« in Westafrika. In: Dekolonisation. Beiträge zur Kolonial- und Überseegeschichte, vol 1. VS Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden. https://doi.org/10.1007/978-3-322-98922-2_21
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