Summary

Abstract

Quality control is as old as human history, and even primitive tests of objects according to external characteristics provided variations in materials of similar type. At a later stage of development, tests and inspections were made not only on finished objects, but also on raw materials before manufacture. Direct testing of the object of the workpiece or structural component is still customary today, although since industrialisation, and in particular since mass production of steel began, it is becoming more frequent for inspection to be made on the material itself. Again, latest developments are concerned with the function of structural components in practical operation and, following the invention of suitable processes, with the inspection of manufactured objects. The scope covered by quality control has expanded greatly since World War I, particularly after the introduction of standards and with the increasing interest shown in government and municipal quarters. Rate of growth corresponds in every respect to the growth rates in production in the various industries. Private and public institutions carry out quality controls, and the high cost of control apparatus together with a desire for neutral inspection has resulted in a greater utilisation of stateowned facilities. Control processes determine whether the characteristic values of materials are ascertained before their application, whether the property of the materials in the manufactured structural component is tested without its destruction, and whether the material performance of the objects is inspected with regard to the material.

Résumé

L’épreuve des matériaux est aussi vieille que l’histoire de l’homme. Lors des appréciations primitives des objets d’après leurs caractéristiques extérieures, il existait déjà des différenciations entre matériaux de même sorte. A une époque ultérieure de l’évolution, ce ne furent pas seulement les objets finis mais aussi les matières premières qui furent appréciées et éprouvées avant l’achèvement. L’examen direct de l’objet fabriqué ou de la pièce de construction est encore d’usage aujourd’hui, bien que, depuis le début de l’industrialisation et surtout après le commencement de la production massive de l’acier, l’examen s’effectue de plus en plus sur le matérial même. Suite à l’évolution la plus récente, on examine de nouveau la pièce de construction dans l’exploitation pratique et, après invention des procédés appropriés, l’objet fini. L’étendue de l’examen des matériaux s’est accrue surtout depuis la dernière guerre mondiale avec l’introduction des normes, et plus tard avec l’intérêt toujours plus grand des services officiels nationaux et communaux. L’importance de cet accroissement correspond parfaitement à l’augmentation de la production dans les diverses industries. L’épreuve des matériaux est assurée par des institutions privées et publiques. Le coût élevé des installations destinées aux épreuves et le désir d’un examen impartial font que l’on fait de plus en plus appel aux instituts de l’Etat. Les méthodes d’examen se distinguent selon qu’elles établissent avant l’emploi les caractéristiques de la matière à travailler, qu’elles étudient les propriétés des matériaux dans l’élément de construction terminé ou bien la destruction de cet élément, ou bien encore qu’elles étudient le comportement en exploitation des objets par rapport à leur matière première.