Dandysmus als literarisches Phänomen

Zusammenfassung

Mögen auch verschiedentlich Alcibiades, Nero oder Lorenzo da Medici, oder neuerdings der Anhänger des Camp, der Mod oder der New Waver als Dandys bezeichnet worden sein, der Dandysmus im strengeren Sinne ist eine Kulturerscheinung des 19. Jahrhunderts, das sowohl von den Auswirkungen der Französischen Revolution als auch von der fortschreitenden Industrialisierung geprägt ist. Baudelaire hat die sozialgeschichtliche Entwicklung, die den Dandy hervorbrachte, scharfsinnig charakterisiert:

»Le dandysme apparaît surtout aux époques transitoires où la démocratic n’est pas encore toute-puissante, où l’aristocratie n’est que partiellement chancelante et avilie. Dans le trouble de ces époques quelques hommes déclassés, dégoûtés, désœuvrés, mais tous riches de force native, peuvent concevoir le projet de fonder une espèce nouvelle d’aristocratie, d’autant plus difficile à rompre qu’ elle sera basée sur les facultes les plus précieuses, les plus instructibles, et sur les dons célestes que le travail et l’argent ne peuvent conférer. Le dandysme est le dernier éclat d’héroisme dans les décadences… Mais, hélas! la marée montante de la democratic, qui envahit tout et qui nivelle tout, noie jour à jour ces derniers représentants de l’orgueil humain et verse des flots d’oubli sur les traces de ces prodigieux myrmidons.« [1]

»Le Dandy doit aspirer à être sublime sans interruption; il doit vivre et dormir devant un mirroir.«

(Baudelaire : Mon cœur mis à nu) »Der Dandy hat danach zu streben, ununterbrochen sublim zu sein. Er muss vor einem Spiegel leben und schlafen. «