Zusammenfassung
Wir haben darauf verzichtet, der Parteizugehörigkeit der einzelnen Publizisten eine besondere Beachtung zu schenken oder gar von Parteidoktrinen zu sprechen. Daß eine Verbindung besteht zwischen den kolonialistischen Kreisen und den bürgerlichen Rechtsparteien, liegt auf der Hand; die Parteien sind aber so wenig organisiert, daß sie für unsere Fragestellung keinen geeigneten Ansatzpunkt bieten. Albert Sarraut und Léon Archimbaud sind zwar wichtige Radikalsozialisten und bis zu einem gewissen Grade repräsentativ für ihre Partei, aber von einer radikalsozialistischen Kolonialdoktrin wird man kaum sprechen können. Bei den Sozialisten (SFIO) hingegen ist von der Partei auszugehen, da sie sich um ein Programm bemüht, Fraktionsdisziplin verlangt und sich deutlich gegen die bürgerliche Rechte und Mitte abzusetzen versucht.
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Literatur
P. 343.
R. Thomas, Politique socialiste et problème colonial. Essai sur l’évolution de la politique coloniale du Parti Socialiste (SFIO) de 1905 à nos jours. Mémoire des Institut des Hautes-Etudes d’Outre-Mer, 1950 (Manuskript), ders. La politique socialiste et le problème colonial de 1905 à 1920, in: Revue française d’Histoire d’Outre-Mer 167/1961, p. 213 f.
In der Motion des «Comité dit de Résistance Socialiste», unterzeichnet u. a. von Léon Blum, war die Haltung der Partei in den folgenden Jahren bereits vorgezeichnet: «Il ne cessera pas d’agir comme il l’a toujours fait, en faveur des populations indigènes que le système capitaliste livre à la conquête, à l’exploitation et à l’asservissement. Mais il se refuse à confondre le mouvement de révolte des peuples opprimés avec le travail de libération prolétarienne; il ne peut accepter une propagande qui tendrait à fausser la lutte de classes et à déchaîner une guerre de races également contraire à ses principes de fraternité et à sa volonté de paix.» Congrès National 25.–30. 12. 1920, Compte-rendu p. 589.
J. O. Chambre, 25. 6. 1929, p. 2184.
Im August 1925 faßte die SFIO eine entsprechende Resolution und erklärte sich als»adversaire de l’évacuation«. Der Parteikongreß vom Mai 1926 bestätigte dies, Compte-rendu, P. 21.
Als Beispiel für die Differenz der Positionen sei die Marokko-Diskussion im Parlament vom 21. 6. 1929 genannt. Für die Kommunisten erklärte Marcel Cachin: «Voilà la 25. année que l’impérialisme français a décidé de se saisir du Maroc. Au bout de 25 ans, il n’est pas encore arrivé à la soumission générale du pays...» die»dissidents«seien mehr als 100 000 Mann stark und «résistent et défendent leur indépendance contre toute tentative de domination étrangère, les armes à la main.» In einem eigentlichen Krieg werde gegen freie Berber gekämpft. Die»Banque de Paris et des Pays-Bas«dominiere in Marokko... «Nous disons que nous n’avons rien à faire au MaroC., qu’il faut l’évacuer, que vous y êtes exclusivement pour servir les grands intérêts du capitalisme»... «aider les peuples à récouvrir leur liberté, leur indépendance», J. O.Chambre, p. 2134 f. Der Sozialist Rivière protestiert gegen die ungenügende Berichterstattung der Presse und das Generalsregiemnt in Marokko: «En ma qualité de socialiste, je suis hostile à toutes les aventures coloniales... Aussi bien, il ne peut être question de cette formule trop simpliste que l’on a développée: <évacuer purement et simplement>. Je puis affirmer également, au nom de bien des indigènes que nous avons interrogés, qu’ils s’estiment plus heureux) qu’autrefois, que notre domination pour si peu qu’elle veille est encore préférable à celle des maghzen, des cheiks et de certains caïds. Nous sommes loin de la justice et de l’égalité, mais dans les régions que nous avons visitées, l’expropriation brutale n’existe plus... Nous avons apporté également à ce pays un peu de sécurité et beaucoup d’hVglène... Croyez-moi pour la pénétration rapide il ne peut y avoir qu’une méthode. Il faut apporter là-bas ce que nous avons de bien dans notre civilisation. Il faut construire...» P. 2139 f.
Voyage an Congo 1927.
J. O. Chambre, 14. 6.1929, p. 2099, wiederum 28.1. 1930.
«Nous n’admettons pas qu’il existe un droit de conquête, un droit de premier occupant au profit des nations européennes sur les peuples qui n’ ont pas la chance d’être de race blanche ou de religion chrétienne. Nous n’admettons pas la colonisation par la force. Nous pensons que le but à poursuivre pour les peuples qui se trouvent en ce moment, en fait, comme c’est le cas de la France, détenir des territoires coloniaux, doit être de les rendre le plus tôt possible
Léon Werth ist der Verfasser des Buches: Cochinchine, 1926, André Viollis Autor von: Indochine S. O. S., 1931.
Alfred Grosser, La IVe République et sa politique extérieure, 1961, p. 112.
Le Populaire, 7. 9. 34, 12. 9. und folgende Tage.
Auszüge in Le Populaire 1. 5. 1926.
J. O. Chambre, p. 1841 f.
J. O.Chambre, 11. Juli 1927, p. 2528. 157 J. O.Chambre, 14. Juni 1929, p. 2066.
Debatten vom 28.–30. 1. 1930 und 20. 6. 1930.
J. O.Chambre, 20. 6. 1930, p. 2603.
J. O.Chambre, 27. 6. 1930, p. 2768.
Thomas, p. 76.
Renseignements coloniaux 1926, No. 2 bis p. 104.
Renseignements coloniaux 1926, No. 5 bis p. 242.
«Il ne demande pas l’évacuation pure et simple des colonies que la France occupe actuellement. La paix n’y gagnerait rien et ne pourrait même que se trouver menacée par l’explosion soudaine des révoltes ou des convoitises. Mais notre politique coloniale doit être adaptée à la diversité des types de colonies. C’est ainsi que pour certaines, elle doit viser à l’assimilation la plus complète, pour d’autres à l’institution des mandats exercés sous le contrôle effectif de la SDN orientés vers la constitution de Sociétés et d’Etats indigènes capables de se suffire à eux-mêmes. L’indépendance aveC., pour corollaire, l’évacuation aussi prompte que possible des colonies, est le but qu’on doit assigner aux progrès de la colonisation... (Die Partei) se prononce pour la reconnaissance de l’indépendance et de l’unité de la Syrie, constituée en un Etat libre, admis à la Société des Nations, libéré de toute occupation militaire et de toute tutelle.» Le Programme d’action immédiate du Parti Socialiste, voté au Congrès National extraordinaire de Paris (Dec. 1927), 1928, p. 47 f. Gonidec zitiert p. 90 eine offenbar aus Doriot, Le PC et les colonies, entnommene Resolution des Parteitages von 1927, doch ist uns ein Stellennachweis nicht gelungen.
Jacques Berque, Le Maghreb entre deux guerres, 1962, p. 350.
Compte-rendu p. 100 f.
Compte-rendu p. 234 f.Vgl. auch Le Populaire 4. 11. 1936. Der Parteikongreß vom Juli 1937 in Marseille nimmt diese Forderung wieder auf.
Zu den Mitgliedern gehören Paul Rivet, Paul Langevin, Alain. Das Comité richtet sich zunächst scharf gegen die koloniale Expansion der Vergangenheit. Syrien und Libanon sollen unabhängig werden, während in den anderen Bereichen durch ein stark erweitertes Wahlrecht eine»véritable représentation indigène«geschaffen werden soll, und zwar ausdrücklich mit dem Ziel»d’enlever à la minorité française son privilège d’avoir une représentation plus forte que la masse indigène «. La France en face du Problème colonial, 1936, P. 55.
Z. B. der Artikel»Demain?«in: L’Afrique française, Mai 1936, p. 250 f. Es sei eine Regierung zu erwarten, die von abstrakten Theorien ausgehe und die Tatsachen verkenne; die Masse der Eingeborenen wolle aber nur Sicherheit, Gerechtigkeit und Wohlstand.
Text der Rede in der Revue du Pacifique 5/1936, p. 615 f. Dazu Le Populaire 11. 12. 1936. Paz schrieb denn auch in einem Artikel «Les problèmes coloniaux» über Moutet: «il a fait la pièce maîtresse de sa doctrine: l’aisance économique, ce gage de la satisfaction politique des populations coloniales«. Le Populaire 11. 12. 1936. Die Tendenz, politische Reformen mindestens vorerst auszuklammern, zeigt sich auch in einer Stellungnahme Moutets im Parlament: «La colonisation, pour nous, c’est le développement même des masses qui habitent les colonies, par l’élévation de leur niveau matériel, social, économique, intellectuel et culturel. (Das Politische fehlt!) Dies verlange enorme Mittel. Die Zollpolitik verteure die Konsumwaren in den Kolonien und schaffe Unzufriedenheit, aber Moutet will doch am bisherigen Prinzip festhalten»que les colonies soient, dans une large mesure, pour la métropole un marché privilégié, c’est une nécessité«(!) Er wolle den Evolués entgegenkommen und für ihre Gleichberechtigung in der Administration eintreten, macht aber keine Andeutung über Reformen der Lokalversammlungen... J. O.Chambre 15. 12. 1936.
P. F. GonideC., Droit de Travail des territoires d’Outre-Mer, 1958.
A. H. Hourani, Syria and Lebanon, a political essay, 1946, p. 219 f. Stephan H. Longrigg, Syria and Lebanon under French Mandate, 1958, p. 218. Die Witwe Viénots zudem in: Le Monde 7. 3. 1958.
Zit Grosser a.a.O., p. 27.
Zit. Jean Lacouture, Cinq hommes et la France, 1961, p. 124. Für Nordafrika vor allem: Ch. A. Julien, L’Afrique du Nord en marche, 2. ed. 1952, p. 84 f; 156 f. Roger Le Tour-neau, Evolution politique de l’Afrique du Nord musulmane 1920–1961, 1962, p. 79 f; 145 f.
Rede im Auszug, in: Le Populaire 2. 3.1937.
Berque, p. 294. L’Afrique française schreibt 1937: «La Tunisie représente en somme un gros département»(!) p. 169.
Vgl. J. Ladreit de Lacharrère, L’arrivée de M. Peyrouton, in: L’Afrique française, Juni 1936, p. 359 f. Der Generalresident habe allgemeine Zustimmung gefunden, nicht zuletzt weil er bei seiner Ankunft erklärte: «Je suis un colonial... il existe des articles d’ordre intellectuel qui ne sont pas d’articles d’exportation» — sich also gegen die Volksfrontregierung absetzte. — Überschwengliches Lob dann für General Noguès, in: L’Afrique française, Oct. 1936, p. 508 f.
Vgl. Interview mit Moutet, in: Le Populaire 20. 10. 1936.
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von Albertini, R. (1966). Die sozialistische Partei. In: Dekolonisation. Beiträge zur Kolonial- und Überseegeschichte, vol 1. VS Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden. https://doi.org/10.1007/978-3-322-98922-2_19
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