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Part of the book series: Arbeitsgemeinschaft für Forschung des Landes Nordrhein-Westfalen ((AFLNW,volume 19))

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Zusammenfassung

In der Gedankenwelt des Ancien Régime in Frankreich fällt dem Begriff der Norm eine entscheidende Rolle zu. Mit der gesammelten Kraft, die ein neues Lebensgefühl verleiht, sind in den verschiedenen Phasen des 17. und 18. Jahrhunderts Normen, das heißt Forderungen, nach denen sich das menschliche, gesellschaftliche und schriftstellerische Leben zu richten hat, immer wieder fixiert und diskutiert worden. Durch Beziehung auf gemeinsame Prinzipien sind Literatur und Gesellschaft geeint und so aufeinander abgestimmt, daß sie oft förmlich ein und dasselbe zu sein scheinen. In freier künstlerischer Gestaltung und in dem Glanz eines neuen Stils trat die „Bildung“ heraus, in deren Einheit die soziologischen Gegensätze zwischen dem Hof und der Stadt, zwischen höfischer Aristokratie und Amtsadel allmählich versinken. Honnêteté, bienséance, politesse, civilité, esprit de conversation sind Wechselbegriffe, die von verschiedenen Seiten her immer wieder dasselbe beherrschende Phänomen aussprechen, auf die Normen verweisen, für deren weitere Differenzierung und Entwicklung die „Stadt“, Paris, die notwendige Grundlage gibt: sie wird zum Prinzip, das sich in der künstlerischen Produktion, in der Poetik und Politik stets wirksam erweist. Die Entwicklung der Literatur vollzieht sich unter demselben Zeichen, unter dem die Erneuerung in der gesellschaftlichen Wirklichkeit steht.

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Literatur

  1. Daß man die politische Macht eingetauscht hat gegen ein dekoratives Dasein, eine Ehre, die von Gnaden des Königs und des Hofes lebt, hat Montesquieu, Esprit des lois, IV, 2 beschrieben: « L’air de Ja cour consiste à quitter sa grandeur propre pour une grandeur empruntée. Elle donne une certaine modestie superbe qui se répand au loin, mais dont l’orgueil diminue insensiblement, à proportion de la distance où l’on est de la source de cette grandeur. »

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  2. Réflexions diverses, éd. La Pléiade, Paris 1935, 358.

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  3. Philosophie der Aufklärung, Tübingen 1932, 359. — Cf. auch Vf. Societas and société, Dt. Vierteljahrsschrift f. Lit.wiss. 1951.

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  4. l. c. 365

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  5. Dazu Cf. passim E. B. O. Borgerhoff, The Freedom of French Classicism, Princeton, 1950

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  6. Pensées, éd. Lafuma, Paris, 1951, I. 432.

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  7. Le ridicule wird von Personen gesagt: « Cléonte ... a bien paru ridicule achevé», Misanthrope, V. 567 oder meint das Lächerliche, die Lädierlichkeit.

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  8. In diesem Sinn Bergsons berühmte Theorie über .das Lachen ergänzt und weitergeführt zu haben, ist das Verdienst einiger neuerer Untersuchungen, vor allem: J. Ritter, Das Lachen, Blätter f. dt. Philosophie 1940, 1 ff., Pleßner, Lachen und Weinen, Bern 1950 2, und id. Das Lächeln, in: Zwischen Philosophie und Gesellschaft, Bern 1953. Ferner cf. auch Victor Saulnier, Le sens du comique, Essai sur le caractère esthétique du rire, Paris 1940. Diese Untersuchungen, die vom Lachen überhaupt handeln, sind jedoch ¡mittelbar auch für unsere historische Betrachtung wichtig.

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  9. Dazu vergleiche man Chamforts: On n’imagine pas camibien il faut d’esprit pour n’être jamais ridicule, Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes, Neuchâtel (éd. A. Wild), 1946.

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  10. Descartes (Des passions de l’âme, Art. 180) hat noch einen Spott im Auge: qui reprend utilement les vices en les faisant paraître ridicules, sans toutefois qu’on ne rie soi-même ni qu’on témoigne aucune haine contre les passions.

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  11. zit. nach P. Bénichou, Morales du grand siècle, Paris 1948, 89.

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  12. Cf. auch .. . exemples pernicieux et ridicules ... le ridicule un vice d’esprit... y attacher une espèce de honte et de ridicule. .. les vices, les faibles et les ridicules,. .. œuvres complètes, éd. J. Benda, Paris 1934, 364, 379, 395, 37 u. ö.

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  13. Eine genaue Geschichte der Nachwirkung der griechisch-lateinischen Theorien fehlt. Doch cf. E. Arndt, De ridiculi doctrina rhetorica, Bonn, Diss. 1904 und Mary A. Grant, The Ancient Rhetorical Theories of the Laughable, Madison 1924 (s. dazu Herter in: Gnomon 1927). M. Puchna Piwonka, Lucilius und Kallimachos, Frankfurt 1949 passim — Über die platonische Interpretation des Motivs der Freude am Lächerlichen der Komödie cf. H.-G. Gadamer, Platos dialektische Ethik, Leipzig 1931, 148 ff. — Marvin T. Herrick, Comic Theory in the Sixteenth Century, Urbana 1950, ist nützlich, hat allerdings zu manchem Widerspruch herausgefordert (s. Weinberg, Modern Philology Bd. 48, 271 ff.).

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  14. Cf. R. Bray, La formation de la doctrine classique, Paris 1927, und R. Naves, Le goût de Voltaire, Paris o. J.

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  15. Cf. Nicole, De la comédie, Essais Morales, A La Haye 1689, III 201 ff., Pensées sur les spectacles, ib. X. 342 ff., Massillon, Sur la médisance, Sermons, Paris 1746, III, 223 ff.

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  16. La moquerie au contraire est de toutes les injures celle qui se pardonne le moins; elle est le langage du mépris... elle attaque l’homme dans son dernier retranchement, qui est l’opinion qu’il a de soi-même, elle veut le rendre ridicule à ses propires yeux ... C’est une chose monstrueuse que le goût et la facilité qui est en nous de railler ...l. c. 336.

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  17. Die Kritik der Kirche war um so schärfer, als die Komödie mit dem Anspruch tout le ridicule des hommes zu beschreiben, ein gleiches Recht auf universale Kritik wie die Kirche begehrte, um die ganze Lebensordnung der Zeit in Frage zu stellen. In der neueren Molière-Kritik — auf die in diesem Zusammenhang nicht eingegangen werden kann — ist dies wiederholt bemerkt worden: S. W. Krauß, Molière und das Problem des Verstehens im 17. Jahrhundert (Ges. Aufsätze zur Literatur- und Sprachwissenschaft), Frankfurt 1949, und die schon erwähnte Untersuchung von Bénichou. Bray, Molière, Homme de théâtre, Paris 1954, hat hauptsächlich die Bühnenpraxis von Molière im Auge (s. auch die dort verzeichnete Literatur).’

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  18. Fénelon macht bis zu einem gewissen Grad eine Ausnahme, er erkennt den neuen Weg Molieres — encore une fois, je le trouve grand, sagt er in der Lettre sur les occupations de l’académie française —, um ihm aber dann doch die Übertreibung im Lächerlichen — le ridicule outré — ebenso zum Vorwurf zu machen wie « le tour gracieux donné au vice ».

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  19. Etudes sur le temps humain, Paris 1952.

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  20. Poulet (1. c. 87) spricht mit Recht von einem « texte véritablement Proustien » d. h. von dem folgenden Passus über den Tartuffe aus der « Lettre sur l’Imposteur » : « L’excès du ridicule que ces manières ont dans Panulphe, fait que toutes les fois qu’elles se présenteront au spectateur dans quelque autre occasion, elles lui sembleront assurément ridicules. C’est que l’âme naturellement avide de joie, se laisse ravir nécessairement à la première vue des choses qu’elle a conçues une fois comme extrêmement ridicules, et qui lui rafraîchissent l’idée du plaisir très sensible qu’elle a goûté cette première fois. »

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  21. Eloge de Molière, Œuvres, Paris, L’an 3 de la République, II, 57: « Après une déroute aussi complète des ridicules qu’on la vit au temps de Molière, peut-être avaient-ils besoin d’une longue paix pour se mettre en état de reparaître. De bons esprits ont pensé qu’il fallait la révolution d’un siècle pour renouveler le champ de la comédie. Le terme est expiré: la Nation demande un poète comique: qu’il paraisse, le trône est vacant. »

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  22. Œuvres, éd. R. de Planhol, Paris 1927, I, 244.

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  23. Dictionnaire historique et critique, Basle 1741, TU, 790.

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  24. Höchst charakteristisch eine Stelle aus dem Eclaircissement sur les obsénitez, ib. IV, 647, aus der man sieht, daß er sich in der Anpassung an den herrschenden Geschmack nicht überstürzen möchte: « Croirez-vous qu’un vieux Professeur de Sorbonne soit obligé de savoir tout ce que les jeunes Abbez de Cour savent dans l’art de marquer aux dames beaucoup de respect... Ce Professeur a bien d’autres choses plus importantes à apprendre que celles-là, et quand même il aurait ouï parler des manières de la civilité, de la mode, il se dispenserait bien légitimement de s’y conformer... -Disons aussi que les nouvelles civilitez sont des servitudes que les grands imposent... au préjudice de l’ancienne liberté. » Sein Standpunkt allen Moden gegenüber: « Il faut tenir un milieu dans ces choses-là: il ne faut être ni des premiers à s’en servir, ni le dernier à les quitter, et l’on ne se rend ridicule en retenant les vieilles modes que lors qu’elles ont été tout à fait abandonnées.»

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  25. Œuvres (Nouv. éd.) Paris 1766, I, 136.

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  26. Zadig sowohl als audi der Ingénu erwarten zuviel von der Philosophie. Daraus ergibt sich ein lächerlicher Kontrast zu ihrer wirklichen Situation. So heißt es einmal im Ingénu: « L’absence augmente toujours l’amour qui n’est pas satisfait, et la philosophie ne le diminue pas. Il parlait aussi souvent de sa chère St.-Yves que de morale et de métaphysique. » Siehe auch Beispiele dieser Art in dem Kommentar von Ira O. Wade zu Micromégas, Princeton 1952.

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  27. Fontenelles Theorien entstammen der Poetik. Cf. z. B. l. c. VIII Préface zur Tragödie Idalie. Hier fragt er sich: wie vereint sich das Ernste mit dem Heiteren und Lächerlichen, oder ib. XXVIII, wie das pitoyable et tendre mit dem ridicule? In der Erörterung über die Ekloge will in der Schilderung der Schäfer alle ridicules sensibles vermeiden, 1. c. IV, 153. In diesen Schriften liegt jedoch nicht die Originalität Fontenelles.

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  28. Le ridicule, la singularité et l’affectation, Considérations sur les mœurs IX (œuvres complètes), Paris 1806, I, 173 ff.

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  29. Der Artikel ist nachlässig gearbeitet und zum Teil wörtlich aus Duclos entlehnt. Immerhin interessant der Hinweis auf ein Preisausschreiben der Akademie vom Jahre 1753: Si la crainte du ridicule étouffe plus de talents et de vertus qu’elle ne corrige.

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  30. Les serments indiscrets (Théâtre, éd. M. Arland), Paris 1949, 826: Wendungen wie: Si je n’avais pas peur d’être ridicule ... Tant de politesses me supposeraient un amour propre ridicule.

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  31. Romans, éd. M. Arland, Paris 1949, 944.

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  32. Lettres de Xenocrate à Phares, œuvres complètes, éd. R. Caillois (La Pléïade), Paris 1949, I, 513.

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  33. Helvátius, De l’esprit, œuvres complètes, Londres 1781, I, 116: Mais, quelque folles que soient les prétentions exclusives au bon ton et quelque ridicule que le public donne à ce sujet aux gens du monde, ce ridicule trouvera toujours grâce devant l’indulgente et saine philosophie, cf. auch 1. c. V, 228.

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  34. Cf. H. Friedrich, Immoralismus und Tugendideal in den Liaisons dangereuses, Roman. Forschungen 1935, und Malraux, Laclos, in: Tableau de la littérature française, éd. André Gide, Paris 1939.

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  35. Cf. Nouvelle Héloïse, II, XVII, WW Paris 1836, VII, 419 u. 428: Mais malheur à qui prête le flanc au ridicule... sa caustique empreinte est ineffaçable, il ne déchire pas seulement les mœurs, la vertu, il marque jusqu’au vice même... en peignant le ridicule des états qui servent d’exemples aux autres on le répand plutôt que de l’éteindre.

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  36. Beaumarchais, Théâtre complet, Lettres, éd. M. Allem (La Pléiade) Paris 1934, 19: « L’attendrissement a de plus cet avantage moral sur le rire, qu’il ne se porte sur aucun objet sans agir en même temps sur nous par une réaction puissante. »

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  37. Cf. Pensées, Filosofía Nova, Paris 1931, II 298 (ähnlich 41): Mon ridicule à moi sera éternel et inexcusable. Il sera dans le malheur. Mes ridicules seront à la fin malheureux par leur caractère et seulement dans leur caractère ... Über den Don Quijote cf. ib. 185.

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Schalk, F. (1954). Das Lächerliche in der französischen Literatur des Ancien Régime. In: Das Lächerliche in der französischen Literatur des Ancien Régime. Arbeitsgemeinschaft für Forschung des Landes Nordrhein-Westfalen, vol 19. VS Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden. https://doi.org/10.1007/978-3-322-98821-8_1

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