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Shades of Facial Hairiness at the French Court: The Case of Marie-Joséphine of Savoy, Countess of Provence

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New Perspectives on the History of Facial Hair

Part of the book series: Genders and Sexualities in History ((GSX))

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Abstract

Marie-Joséphine of Savoy was a princess whose fame was eclipsed because she was living at the Court of Versailles at the same time as Marie-Antoinette. She married Louis XVI’s younger brother and had a somewhat quiet life at court. Only two authors have written monographs about her. Tony-Henri-Auguste de Reiset published his essay in 1913 and, in 1993, Charles Dupêchez wrote La Reine velue (The Hairy Queen) using new documents that were unknown to Reiset. Unfortunately, the lack of footnotes limits The Hairy Queen’s use for historians. Despite using the sobriquet as his title, for instance, it is impossible to determine when the nickname ‘hairy queen’ was first used to mock the princess, to make her seem like a kind of monstrous figure with hairs everywhere, including her shoulders and chest. Marie-Joséphine was known for her eye-catching hairiness, which elicited various reactions. It is the various meanings behind those reactions that the author aims to understand. Understanding the specific reactions to Marie-Joséphine’s appearance will help to illustrate the complex perceptions of female facial, and body, hair during the Enlightenment. It will reveal that notions of female facial hair were less of an aesthetic canon than a kind of language meant to speak volumes about the woman’s personality.

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Notes

  1. 1.

    Letter from Louis XV to Ferdinand, Duke of Parma, 12 May 1771, quoted in Philippe Amiguet, Lettres de Louis XV à l’infant Ferdinand de Parme (Paris: Grasset, 1938), 178. “Elle est très bien faite, pas grande, de très beaux yeux, un vilain nez, la bouche mieux qu’elle n’était, fort brune de cheveux et de sourcils et la peau parfaite pour une brune.”

  2. 2.

    Letter from Louis XV to Ferdinand, Duke of Parma, 20 May 1771, ibid. “Sans être jolie, elle est très agréable et si j’avais quelques années de moins, après l’avoir vue, je l’aurais bien prise pour moi.”

  3. 3.

    The Mémoires secrets are one of the main sources documenting political and cultural life in France between 1762 and 1787. They were a great editorial success and one of the most popular “nouvelles à la main”, that is to say news emanating from circles close to power and secretly published abroad. Their editorial policy mostly reflected the opinion of the Parlement of Paris, whose magistrates generally supported the Jansenist movement and were critical of the Court.

  4. 4.

    Mémoires secrets pour servir servir à l’histoire de la République des lettres (London, 1784), 19 May 1771, 266. “Cette princesse est très brune, elle a d’assez beaux yeux, mais ombragés de sourcils très épais, un front petit, un nez long et retroussé, un duvet déjà très marqué aux moustaches , et une tournure de visage qui ne présente rien d’auguste ni d’imposant.”

  5. 5.

    Alfred d’Arneth, Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau, vol. 1 (Paris: Firmin-Didot, 1874), 166. “Relativement au personnel de Mme la comtesse de Provence, je dois ajouter que sa figure n’est point bien et son maintien peu agréable; elle n’a nulle grâce, elle parle peu et désagréablement.”

  6. 6.

    Mémoires secrets , 19 May 1771, 266. “M. le comte de Provence paraît enchanté de sa nouvelle conquête, elle n’est pourtant pas jolie. … Quoi qu’il en soit elle plaît au prince, et le lendemain de son mariage, il annonça au roi qu’il avait été quatre fois heureux.”

  7. 7.

    George-Louis Leclerc de Buffon , Histoire naturelle , générale et particulière, vol. 2 (Paris, 1749), 503–504.

  8. 8.

    Fureur utérine,” in Jean Le Rond d’Alembert and Denis Diderot, Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers par une société de gens de lettres, vol. 7 (Paris, 1757), 380.

  9. 9.

    M. D. T. de Bienville , La Nymphomanie ou traité de la fureur utérine (Paris, 1771), 29.

  10. 10.

    Bienville, La Nymphomanie, 12.

  11. 11.

    Bienville, La Nymphomanie, 11.

  12. 12.

    Bienville, La Nymphomanie, 31. Bienville’s publication turned nymphomania into a cliché for the scientific literature about women . As such, Nicolas Chambon de Montaux dedicated a chapter to it in his Des maladies des filles published in 1785.

  13. 13.

    Journal inédit du duc de Croÿ, 17181784, vol. 2 (Paris: Flammarion, 1906), 484. “Le soir [du mariage] au coucher, le roi fut très gaillard. On assure que quand il instruisit le comte de Provence, il y répondit d’une manière très différente et plus gaie que M. le Dauphin.”

  14. 14.

    Pierre Darmon, Le Tribunal de l’impuissance: virilité et défaillances conjugales dans l’Ancienne France (Paris: Seuil, 1986); Sarah F. Matthews-Grieco (ed.), Cuckoldery, Impotence and Adultery in Europe (15th17th Century) (Burlington, VT: Ashgate, 2014).

  15. 15.

    Mémoires secrets , 19 May 1771, 266. “Madame la comtesse de Provence répond de son côté à merveille aux caresses du prince, et l’un et l’autre promettent de vivre dans la meilleure intelligence. On raconte quelques anecdotes qui font beaucoup d’honneur au dernier. Le lendemain du mariage, on dit que M. le comte d’Artois dit à son frère: ‘M. le comte de Provence, vous aviez la voix bien forte hier, vous avez crié bien haut votre oui!’—‘C’est que j’aurais voulu qu’il eût été entendu jusques à Turin ’, repartit soudain l’époux enflammé.”

  16. 16.

    Cornelius de Pauw , Recherches philosophiques sur les Américains , vol. 1 (Berlin, 1768), 90. “Plus le clitoris est prolongé dans les femmes, et plus il leur naît de poil follet, au menton et à la lèvre supérieure; et voilà pourquoi les hermaphrodites , quoiqu’essentiellement femelles, ont tous de la barbe tant en Europe qu’en Asie; mais dans la Floride ils n’en avaient point, parce que les hommes eux-mêmes en manquaient. Il serait difficile de découvrir quel rapport il peut y avoir entre l’épanchement de l’oestrum veneris, et la végétation de la barbe; puisqu’aucun naturaliste, que je sache, n’a jamais fait cette observation: on a été par conséquent, bien éloigné d’expliquer un fait dont on ne s’était ni aperçu ni douté. Cependant, le duvet du menton s’épaissit même dans les femmes âgées, à mesure que le clitoris croît et se raidit avec les années; aussi quelques matrones font-elles disparaître cette difformité de la vieillesse par les artifices de la toilette.”

  17. 17.

    See Emma Donoghue, “Imagined More Than women : Lesbians as hermaphrodites , 1671–1766,” Women ’s History Review 2, no. 2 (1993): 199–216; Valerie Traub “The Psychomorphology of the Clitoris ,” GLQ, A Jounal of Lesbian and Gay Studies 2, no. 2 (1995): 81–113.

  18. 18.

    François Ange Deleurye , Traité des accouchemens (Paris, 1770), 17. “Le clitoris s’accroît avec l’âge; il se gonfle dans les approches conjugales; il est doué d’un sentiment très délicat, et varie tant en longueur qu’en grosseur; plus il est long, plus les femmes sont lascives; souvent même elles peuvent en abuser.”

  19. 19.

    Randolph Trumbach, Sex and the Gender Revolution. Volume One: Heterosexuality and the Third Gender in Enlightenment London (Chicago and London: University of Chicago Press, 1998), 65.

  20. 20.

    Marisa Linton, The Politics of Virtue in Enlightenment France (New York: Palgrave Macmillan, 2001).

  21. 21.

    Archives diplomatiques, La Courneuve, Correspondance diplomatique de Sardaigne, 9 March 1772. “On disait que les princesses en France ne faisaient jamais maigre, il n’en est pas un mot de vrai, car ici toute la famille fait maigre et jeûne très rigoureusement.”

  22. 22.

    Mémoires secrets , 19 May 1771, 303. “Madame de Valentinois , mettez-moi du rouge, et beaucoup, puisque j’en plairai davantage à mon mari.”

  23. 23.

    Catherine Lanoë, La Poudre et le fard. Une histoire des cosmétiques de Renaissance aux Lumières (Seyssel: Champ Vallon, 2008).

  24. 24.

    Archivio di Stato di Torino, Francia, Mazzo 213, no. 30, Dispatch from la Marmora, 17 February 1772. “surtout absolument trop le soin de sa parure et de sa figure, que cela n’était pas aussi indifférent que je pourrais le penser, que ce n’était point du tout un temps mal employé ni perdu pour une princesse dont le devoir et l’intérêt étaient de plaire à sa famille et même à tout le monde, que celui qu’elle passait à sa toilette et au soin de se parer. Que je n’ignorais pas que le roi aimait infiniment à voir les personnes bien mises, et surtout la propreté… que la comparaison de Mme la Dauphine, naturellement, plus portée à plaire, lui était pareillement désavantageuse, qu’elle était toujours mise à peindre et d’une propreté ravissante.”

  25. 25.

    Archivio di Stato di Torino, Francia, Mazzo 213, no. 31, Dispatch from la Marmora, 17 February 1772. “que non seulement on ne peut obtenir de cette princesse qu’elle se laisse coiffer avec soin, ni qu’elle permette qu’on use des petits expédients dont l’art fait usage pour aider à la nature , comme ce serait de lui accommoder le front en enlevant les poils follets qui le rétrécissent et font que les sourcils approchent de trop près et se réunissent presque aux cheveux.”

  26. 26.

    Lady Mary Coke , The Letters and Journals of Lady Mary Coke , 1772–1774 (Bath: Kingsmead Bookshop, 1970), 81.

  27. 27.

    Nouveau dictionnaire d’anecdotes ou l’art d’éviter l’ennui, vol. 2 (Liège, 1786), 208. “Qui croirait qu’il y a eu un siècle, et même plusieurs, dans lesquels on louait, comme une perfection des femmes, d’avoir les deux sourcils joints ensemble. Ce fait est attesté par Anacréon, qui vante ses agréments dans sa maîtresse; par Théocrite, Pétrone, et plusieurs autres anciens. Ovide assure que de son temps les femmes se peignaient l’entre-deux des sourcils, pour qu’ils parussent se tenir l’un l’autre. C’est encore l’usage parmi les Grecques et les Persanes.”

  28. 28.

    Nicolas Andry , L’Orthopédie ou l’art de prévenir et de corriger dans les enfants les difformités du corps, vol. 2 (Paris, 1741), 49. “Quelques auteurs anciens parlent de ces sortes de sourcils comme d’un agrément, et entre autres Pétrone et Ovide; ce dernier remarque que les dames de son temps recouraient à l’artifice pour se procurer de tels sourcils.”

  29. 29.

    In Vienna , in 1768, before Marie-Antoine’s departure to France , the Prince of Starhemberg asked for a French hairdresser able to conceal the ‘rather high forehead’ of the archduchess. See Albert Vuaflart and Henri Bourin, Les Portraits de Marie-Antoinette . Vol 1. L’Archiduchesse (Paris: André Marty, 1909), 35.

  30. 30.

    Maryse Dugan, “Le potentiel érotique dans les contes de Mlle de Lubert,” in Sexualité, mariage et famille au XVIIIe siècle, ed. Olga B. Cragg avec la collaboration de Rosena Davison (Québec: Presses de l’Université Laval, 1998), 61–7.

  31. 31.

    Annie Duprat, Marie-Antoinette Images et visages d’une reine (Paris: Autrement, 2013), 57–60.

  32. 32.

    Archivio di Stato di Torino, Francia, Mazzo 214, no. 166, letter from Viry, 20 August 1773. “Je souhaiterais aussi … en rendant toute la justice qui est due à la sagesse, à la prudence et à la conduite admirable que tient Mme de Provence, que le roi et la reine, dans les lettres qu’ils écrivent à cette princesse … lui fissent légère insinuation sur les soins qu’elle doit donner à sa coiffure et à l’entretien de ses dents. Je souffre véritablement d’être dans le cas de parler de ceci à Votre Excellence, mais ces sortes de choses qu’on regarde comme des minuties ailleurs, sont des affaires essentielles dans ce pays-ci.”

  33. 33.

    Letter from Maria-Theresa to Mercy-Argenteau, 12 February 1774, in Alfred d’Arneth, op. cit. (Paris, 1874), vol. 2, 423. “Mme de Salmour, mais qui ne veut être nommée, et quelques autres souhaiteraient d’avoir de cette poudre qu’on trouve à Paris chez les baigneurs; c’est encore pour ôter les poils follets au visage. Le valet de chambre qui la faisait venir étant mort subitement, ils n’ont trouvé ni la recette ni l’adresse. Je vous joins ici un peu de cette poudre, si vous pouviez la trouver. Elle est au fond de la boîte, du papier dessus; vous enverrez par le retour du courrier une certaine quantité pour que ces dames soient servies, à mon adresse.”

  34. 34.

    Mémoires secrets , 19 August 1775, 149.

  35. 35.

    Maurice Lever, Théâtre et Lumières. Les Spectacles de Paris au XVIIIe siècle (Paris: Fayard, 2001); Kimberly Chrisman-Campbell, Fashion Victims. Dress at the Court of Louis XVI and Marie-Antoinette (New Haven: Yale University Press, 2015), 116–27.

  36. 36.

    Letter from Viry, 09 October 1775. Archivio di Stato di Torino, Francia, Mazzo 218, no. 88. “Mme de Marsan m’ayant dit que Mme la princesse de Piémont désirerait fort d’avoir dans ce pays-ci un petit meuble de propreté dont les dames font usage dans leur garde-robe, et m’ayant chargé d’en envoyer un, j’aurai soin de l’adresser à Votre Excellence par la diligence de Lyon.”

  37. 37.

    Julia Csergo and Roger-Henri Guerrand, Le Confident des dames. Le bidet du XVIIIe au XXe siècle: histoire d’une intimité (Paris: La Découverte, 2009); Nadeije Laneyre-Dagen and Georges Vigarello, La Toilette, naissance de l’intime (Paris: Hazan, 2015).

  38. 38.

    Anonymous, Histoire de Mademoiselle de Brion , dite comtesse de Launay (1774), 21. “âgé de dix-huit ans, vigoureusement charpenté, les yeux vifs, des sourcils noirs et bien marqués”

  39. 39.

    Anonymous, Le Dîner du Lion d’or , ou aventures singulières arrivées en juillet 1783 au Sr Manzon (1784), 35. “Les traits de mon visage annoncent toujours l’homme distingué, l’homme de condition: et rien ne me flatte plus que d’être tenu pour tel: mon teint rembruni, mes sourcils noirs, mes yeux vifs et imposants, me donnent un air si martial que si j’étais à trente lieues d’ici j’oserais m’annoncer pour un officier-général.”

  40. 40.

    L’Observateur français à Londres, vol. 20 (1770), 291. “une jeune personne de dix-neuf à vingt-six ans […] ayant la peau blanche, les yeux bleus et bien fendus, les cheveux et les sourcils noirs.”

  41. 41.

    Tony Henri Auguste de Reiset, Anne de Caumont La Force , Comtesse de Balbi (Paris: Emile Paul Frères, 1908), 19–20, 30, 37.

  42. 42.

    Louise Eléonore Charlotte Adélaïde d’Osmond Boigne, Récits d’une tante, mémoire de la comtesse de Boigne née d’Osmond, vol. 1 (Paris: Emile Paul, 1921), 39. “depuis qu’il s’était attaché à Madame de Balbi, il n’allait presque plus chez Madame, et elle s’en consolait dans l’intimité de ses femmes de chambre.”

  43. 43.

    Mémoires Secrets , 20 July 1780, 200. “On veut que madame de Balbi ait aujourd’hui sur sa maîtresse le même ascendant que madame Jules [de Polignac] sur la reine.”

  44. 44.

    Tony Henri Auguste de Reiset, Joséphine de Savoie, cometesse de Provence (Paris: Emile Paul Frères, 1913), 126, 136–37.

  45. 45.

    François Adolphe Mathurin de Lescure , Correspondance secrète inédite sur Louis XVI , Marie-Antoinette , la cour et la ville (Paris, 1866), 1 March 1789, vol. 2, 334. “Elle était femme de chambre de confiance de Madame, et depuis quelques temps ne se faisait pas moins remarquer par ses dépenses que par ses entretiens secrets avec sa maîtresse fort avant dans la nuit. Monsieur chargea Madame de la Vauguyon de la congédier. La duchesse, connaissant l’empire de cette favorite subalterne, supplia Monsieur de la dispenser d’une commission aussi délicate. Le prince fit venir lui-même la dame Gourbillon, qui, se sentant forte de la protection de sa maîtresse, fit beaucoup de difficultés pour se soumettre. Monsieur la chassa de sa présence, et lui fit donner une lettre de cachet qui l’exile à Lille, auprès de son mari. La calomnie s’exerce à interpréter les titres de cette jeune dame au point étonnant de faveur auquel elle était parvenue.”

  46. 46.

    Reiset, Joséphine de Savoie, 121.

  47. 47.

    Marie-Jo Bonnet , Les relations amoureuses entre les femmes (Paris: Odile Jacob , 1995).

  48. 48.

    Ernest Sanger, Isabelle de Bourbon-Parme : La Princesse et la mort (Bruxelles: Racine, 2002), Elisabeth Badinter, Isabelle de Bourbon-Parme “Je meurs d’amour pour toi”. Lettres à l’archiduchesse Marie-Christine (Paris: Tallandier, 2008).

  49. 49.

    Anthony Cross, “Horace Walpole et Catherine la regicide,” in Catherine II et l’Europe, ed. Anita Davindenkoff (Paris: Institut d’études Slaves, 1997), 48–52.

  50. 50.

    Samuel-Auguste Tissot , L’Onanisme, dissertation sur les maladies produites par la masturbation (Lausanne: Imprimerie Antoine Chapuis, 1760).

  51. 51.

    Thomas Laqueur , Making Sex: Body and Gender from the Greeks to Freud (Cambridge: Harvard University Press, 1990).

  52. 52.

    On this topic, see my article: “Du souverain sans femme à la peur de l’onanisme, une crise de la masculinité royale dans l’Europe du XVIIIe siècle?,” Revue Circé, no. 5, 19 June 2014, http://www.revue-circe.uvsq.fr/du-souverain-sans-femme-a-la-peur-de-lonanisme-une-crise-de-la-masculinite-royale-dans-leurope-du-xviiie-siecle/.

  53. 53.

    Feuille du Salut Public, 17 November 1793; Gazette Nationale de France , 20 July 1793.

  54. 54.

    François-Emmanuel Fodéré , Essai de physiologie positive, appliquée spécialement à la médecine, vol. 3 (Avignon: Veuve Seguin, 1806), 444. “L’abus des plaisirs de l’amour éteint la voix dans les deux sexes; ces femmes nommées virago, si redoutables par leur tempérament, sont reconnaissables à leur voix mâle, et à la barbe qui l’accompagne.”

  55. 55.

    Théodore de Lameth, Notes et souvenirs (Paris: Fontemoins, 1914), 57. “Madame, comtesse de Provence, belle-sœur de Louis XVI , était fort laide; elle avait, quoique jeune, les dents gâtées, de la barbe, même sur la poitrine et les épaules, l’habit de cour en faisait parade.”

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Chéry, A. (2018). Shades of Facial Hairiness at the French Court: The Case of Marie-Joséphine of Savoy, Countess of Provence. In: Evans, J., Withey, A. (eds) New Perspectives on the History of Facial Hair. Genders and Sexualities in History. Palgrave Macmillan, Cham. https://doi.org/10.1007/978-3-319-73497-2_11

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  • Publisher Name: Palgrave Macmillan, Cham

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