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The Circulating Structure of Cosmological Space in the Seventeenth Century Chemical Tradition

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Boundaries, Extents and Circulations

Part of the book series: Studies in History and Philosophy of Science ((AUST,volume 41))

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Abstract

I propose following one of the major themes in chemistry from the end of the sixteenth century to the beginning of the eighteenth: the circulation of seeds. My goal is not only to bring forward the longevity of this tradition—this is self-evident. Instead, I want to show how under diverse forms, the thesis of circulation allowed one to understand of how space was organized. In particular, I will look at the work of Joseph Duchesne (Quercetanus), Pierre-Jean Fabre and Herman Boerhaave. I will consider these three chemists as three moments in the history of chemical cosmologies that allow us to see how the spatial structure of the world has been considered.

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Notes

  1. 1.

    In this paper, I use “alchemy” and “chemistry” synonymously, as they were used during the 17th century—see Principe and Newman (1998).

  2. 2.

    Thus, in this paper, I am not concerned with the question of “space” in the microstructure of a chemical substance and between its particles, but with cosmological space as discussed by chemists. The problem of the existence of interstitial void exceeds chemistry properly speaking, since it concerns every natural philosophy.

  3. 3.

    Fabre (1636, 8): “Que l’Alchymie est la vraie et unique Philosophie naturelle et qu’elle comprend en soy toute la nature” (all translations from French into English are mine).

  4. 4.

    Ibid., 9–10.

  5. 5.

    Regarding Duchesne, see especially Kahn (2007). Also see Kahn (2004) and Hirai (2010).

  6. 6.

    For all that follow, I will rely mainly on Hiraï (2005).

  7. 7.

    Thus, it does not mean that alchemy is a kind of spiritualism and even less a mysticism.

  8. 8.

    Duchesne (1587), préface (n.p.): “Au quatrième [discours], je viens au Monde Céleste, discourant de la Matière et de la Forme des Cieux, de leurs Accidents et dénombrement; des images et figures célestes; de leurs aspects et influences. De la naissance et mort des choses: de leur Sympathie et Antipathie procédant des aspects célestes; et déduis en somme les questions les plus nécessaires à cette matière. Au cinquième [livre], je descends au monde Élémentaire, que je commence (suivant Aristote en sa Métaphysique) par les agents ou principes de toutes choses. Après la description de la nature naturée, je viens bâtir ce bas univers sur les quatre piliers des Éléments, que je fonde sur les plus fermes arguments des Philosophes.”

  9. 9.

    Duchesne (1587, V, 156): “Ca que j’enrolle donc, Nature naturée/Tant et tant de pouvoirs dont l’on te voit parée./Tu es de tout repos et de tout mouvement/Principe, non à coup, ains successivement;/Source de l’Univers, sa laitière Nourricière, sa charitable sœur sa soigneuse tutrice …/Mère du temps, l’auteur des ans, mois, jours et heures,/Des nombres ia contés [sic], des passives mesures,/Épouse du travail, veuve d’oisiveté,/le miroir où reluit du grand Dieu la bonté.”

  10. 10.

    Duchesne (1605, I, XV) (n.p.).

  11. 11.

    Duchesne (1676, 15–16): “Ce baume incorruptible se trouve et conserve sur les corruptibles et secondes semences des choses. Et c’est ici principalement qu’a lieu le dire d’Aristote: Que la corruption d’une chose est la génération d’une autre, car la semence étant jetée en terre, elle se pourrit bien aucunement ou pour le moins se corrompt, c’est-à-dire digère et résout; mais la radicale et balsamique substance d’icelle qui auparavant demeurait cachée et oisive en certaine humidité vitale et spirituelle et dans laquelle était en vigueur la vertu, puissance de toute la semence, vient maintenant à se faire paraître; De sorte que de là même il paraît assez évidemment qu’icelle substance balsamique, laquelle nous avons dument qualifiée incorruptible ne se corrompt, mais se parfait et produit un corps nouveau. S’il appert que la seule nature peut de soi effectuer de telles choses et que par son seul moyen on peut séparer le spirituel du corporel, l’incorruptible du corruptible, l’invisible du visible et finalement le pur de l’impur, que pourra-t-elle faire étant aidée par le moyen et la dextérité de l’art?”.

  12. 12.

    Hiraï (2005, 280); Hiraï uses a formula from Duchesne—see quotation below.

  13. 13.

    Duchesne (1605, I, IV).

  14. 14.

    Describing it as circulation of spirit would remain ambiguous, since, as we shall see, Fabre considers that spirits are purely material: their circulation, according to him, is not to be distinguished from the circulation of bodies.

  15. 15.

    Duchesne (1676, préface, 14–15): “Finalement, elle se nomme Ciel des Philosophes, pour autant qu’elle surpasse de beaucoup la nature des éléments. C’est aussi à bon droit qu’ils appellent baume cette matière, vu que c’est une nature radicale source des actions et de fertilité, par le moyen de laquelle les éléments sont convenablement mêlés et liés ensemble: en la faculté et vertu d’icelle consiste aussi la vraie et universelle médecine de tous les maux, la restauration de la santé, le renouvellement des corps et leur conservation. Bref, c’est ce qui donne vigueur et puissance d’agir à toutes choses naturelles. Et combien que cette matière spirituelle, céleste, invisible, occulte et par conséquent plus notoire à la raison qu’au sens ne se puisse à peine trouver séparément, si est-ce qu’elle a existence et se peut trouver par un vrai Philosophe, comme par raisons certaines et évidentes nous prouverons et montrerons.”

  16. 16.

    Emerton (1984, 179).

  17. 17.

    Duchesne (1605, I, XII).

  18. 18.

    It means that form is the origin of the qualities but not the qualities themselves. For example, form in Salt principle has no savour, but it is the origin or the cause of savour—see Duchesne, Practice I, 10.

  19. 19.

    Duchesne (1605, I, X).

  20. 20.

    For more biographical details, see Joly (1992).

  21. 21.

    On Fabre’s materialism, see Joly (2012); I will dwell on Joly’s comment on Fabre.

  22. 22.

    Fabre (1636, 111–112): “Il est donc nécessaire de savoir et comprendre comment tous ces principes et tous ces éléments … s’unissent entre eux et font et constituent un esprit général du monde, qui est l’aliment général et universel de toutes choses où toute la Nature est unie et rassemblées en toutes ses parties comme en son vrai centre, duquel se tirent des lignes infinies, qui tant plus elles sont éloignées du centre tant plus elles sont discordantes et différentes; et tant plus elle sont proches du centre, tant plus elles sont unies, jusqu’à ne faire qu’un seul point homogène et semblable en toutes ses parties. Le Ciel donc, avec les éléments tous ensembles constituent une humeur liquide où toutes les vertus naturelles du Ciel et des éléments se trouvent unies par le même moyen que toutes les vertus et énergies des parties d’un corps se trouvent unies et assemblées dans sa semence; ainsi cette liqueur est la semence du monde.”

  23. 23.

    Fabre provides an argument taken from the principles of chemistry to prove that Earth is in the center of the universe. He considers that light is the principle of motion and darkness is the principle of rest; therefore, as Earth is dark, it must be at rest. Fabre (1646, 237).

  24. 24.

    Fabre (1636, 43–44): “Les éléments que nous voyons sont pareillement les matrices de toutes choses, car en iceux gît l’esprit général et séminal de toutes choses, qui est celui qui engendre et produit tout dans les éléments et les éléments en sont que le lieu et la matrice des productions et générations, le reste n’est qu’esprit vital ou excrément de cet esprit qui informe, actue et les rend pleins de vie, autrement ce sont des corps sans vie, vains et inutiles, comme il est dit dans la sainte Écriture. Car ce qui est dit de l’un des éléments, à savoir Terre est inanis et vacua … s’entend aussi des autres éléments, lesquels étaient tous inutiles avant que le Créateur de toutes choses y eut mis cet esprit de vie qui les vivifia tous.”

  25. 25.

    Fabre (1636, 162–163): “D’où s’ensuit cette perpétuelle et indésirante circulation, de monter et descendre de la terre au ciel et du ciel en la terre, pour se résoudre et se coaguler en semence et corps spermatique de toutes choses et se résoudre en vapeur très subtile, pleine toutefois de vie et de feu naturel et céleste; et cependant les parties les plus coagulées et tendant à fixion [sic] demeurent dans la terre et là produisent les choses plus précieuses, si ces parties tombent dans des lieux purs, et qu’elles mêmes soient dépurées à dernière purification, par la longue et continuelle sublimation qui se fait de cette matière nuit et jour dans ce grand et vaste vaisseau du monde universel.”

  26. 26.

    Fabre (1636, 10): “Le Ciel même qui est par-dessus nos sens corporels, que nous ne pouvons comprendre que par l’opération intellectuelle de notre âme ne peut être exclu du domaine de l’Alchymie; puisque par la matière incorruptible des choses inférieures qui se trouvent en leur centre, elle voit et touche les matières supérieures et célestes; et voit par même moyen et même voie, les matières inférieures être semblables et de pareilles substance que les supérieures et célestes et que leur différence est seulement par le pur et l’impur qui se trouve en leurs individus.”

  27. 27.

    For example, Fabre writes: “Who knows and understands the generation of one vegetable only may from it know the generation and production of all others, because their matter is unique and alike in all, the only noticeable difference between all these individuals coming from the particular form which is in them, which makes and causes in them all these particular and individual differences. But this form proceeds and is drawn from the very deep heart of matter, which has in itself the property and the virtue to produce these forms; and these forms are not different from matter, since they come from it and proceed from it; but they are an active matter, full of virtues and energy.” Fabre (1636, 340–341): “Qui sait et comprend la génération d’un seul végétal peut d’icelui savoir la génération et la production de tous les autres, puisque la matière est unique et semblable en tous, la seule différence qu’on remarque à tous les individus de ce genre dépend de la forme particulière qui est en eux, qui fait et cause en tous ces particulières et individuelles différences. Mais cette forme procède et est tirée du centre et du profond de cette matière, qui a la propriété et vertu en elle-même de produire ces formes et ces formes ne sont point quelque chose de différence (sic) de la matière, puisqu’elles en sortent et en procèdent; sinon que c’est une matière pleine de vertu et d’énergie.”

  28. 28.

    Fabre (1636, 18): “Feu vital et invisible, principe de tout mouvement et de toute action”; “il protège les formes”.

  29. 29.

    Fabre (1636, 20): “D’où vient que tous les anciens Philosophes nous ont laissé par écrit que l’être principal de toutes choses inférieures qu’ils disaient être leur forme et leur vraie essence était dépendant du Ciel car ils ont assuré que sous les formes particulières de tous les individus élémentaires, elles étaient produite et engendrées par ce feu céleste, qui, s’introduisant dans les semences inférieures suscite et fait paraître la forme intérieure du plus profond de la matière, avec tout son ornement et son équipage.”

  30. 30.

    Fabre (1636, 26): “La troisième partie qui procède de l’action de ces deux, au moyen de laquelle ils prennent corps visible et sensible”; on Fabre on Salt, see R. Franckowiak, Le développement des théories du sel dans la chimie française de la fin du XVIe à la fin du XVIIe siècle, Thèse de doctorat, Université Lille 3—Charles de Gaulle, 2002.

  31. 31.

    See Knoeff (2002), Powers (2012), and Lindeboom (1967).

  32. 32.

    Some papers on mercury published in the Philosophical Transactions are important too—see Powers (2007); the Elementa chemiae are constituted by the lessons given by Boerhaave at Leyden. He published his book in 1732 because an unauthorized version was already circulating, especially in English, entitled The New Method of Chemistry, translated by Peter Shaw, published in 1724.

  33. 33.

    See Peterschmitt (2005).

  34. 34.

    Boerhaave (1735, I, 1–2).

  35. 35.

    See quotation below for an example of such declarations.

  36. 36.

    See Love (1972).

  37. 37.

    The main passage is to be found in Elements, I, 72–75.

  38. 38.

    Boerhaave (1735, I, 47).

  39. 39.

    Boerhaave (1735, I, 49).

  40. 40.

    Boerhaave (1735, I, 49).

  41. 41.

    Boerhaave (1735, I, 289); note that this may explain the alchemical conception of seeds and especially the metallic ones: “That surprising phenomenon which in all ages has been observed by miners, seems likewise to be owing to the residence of these metallic parts in the Air, viz. That the fossil glebes, when they are dug out of the Earth, and are exposed to the Air, are affected by it in a very extraordinary manner. How frequently it is seen, that Marcassites, the Pyrites, vitriolic Stones and metallic substances that are quite exhausted are so acted upon by the Air, that they increase, come to maturation, are changed, renewed and afresh impregnated and become again enriched with a true metallic Offspring. In reality, the Air seems to be the grand universal distributer of the seeds of bodies, which being plentyfully stocked with every kind of matter, commits to the Earth the Elements of Bodies it has received from it and thus generates most kinds of Bodies, rather by means of a revolution than a new production” (Elements, I, 288–289). In all this passage, Boerhaave takes some alchemical themes and deals with them in the same “mechanical” fashion—see especially what he says about dew and its effects, Elements, I, 273 sq.

  42. 42.

    Boerhaave (1735, I, 113).

  43. 43.

    Boerhaave (1735, I, 123).

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Acknowledgments

This paper has been written with the support of the ANR (Projet PNEUMA 09 SSOC O56 1). I thank Jonathan Regier and Koen Vermeir who have commented on and corrected earlier drafts of this paper. All the defects that remain are mine.

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Peterschmitt, L. (2016). The Circulating Structure of Cosmological Space in the Seventeenth Century Chemical Tradition. In: Vermeir, K., Regier, J. (eds) Boundaries, Extents and Circulations. Studies in History and Philosophy of Science, vol 41. Springer, Cham. https://doi.org/10.1007/978-3-319-41075-3_10

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