Zusammenfassung
Im diesem abschließenden und zusammenfassenden Teil soll versucht werden, auf der Grundlage des in den Teilen IV und V untersuchten historischen Materials die ausschlaggebenden Bedingungen der Genese des chemischen Verbindungskonzepts zu rekonstruieren. Zunächst werden die für die Herausbildung des chemischen Verbindungskonzepts bestimmenden Momente der Ausgangslage herausgearbeitet, die sich in der chemischen Praxis des 16. und 17. Jahrhunderts entwickelt hatten und die teilweise als Resultat eines tiefgreifenden Umbruchs dieser Praxis zu verstehen sind. In Verbindung damit wird auf die Veränderungen im Verständnis der chemischen Operationen bei den chemisten des 17. Jahrhunderts eingegangen, die der Herausbildung des chemischen Verbindungskonzepts den Weg ebneten (VI.l). Sodann werden einige Aspekte der Reflexion analysiert, mit der die unmittelbaren Vorgänger Geoffroys den angesprochenen Veränderungen Rechnung zu tragen versuchten (VI.2). Schließlich wird rekonstruiert, wie Geoffroy ausgehend von diesen Voraussetzungen das chemische Verbindungskonzept formulierte, und gezeigt, inwiefern dieses eine vollständige Umwälzung der Grundlagen des Verständnisses chemischer Veränderungen darstellt (VI.3).
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Notes
Vgl. oben V.l.
Vgl.oben IV.3.1.
Vgl. oben IV. 1.
Vgl. oben IV. 1. und V.2.1.
Zum Zusammenhang zwischen Naturbildern und Produktionsformen vgl. Lefèvre (1978). Der Zusammenhang zwischen teleologischen Naturbildem und einer agrarischen Produktionsform wird vor allem ebd. 59 ff. ausgeführt.
Vgl. oben V.2.1.4.
Vgl. oben IV.3.2.
Vgl. dazu Damerow (1981).
Vgl. oben V.2.2.
Um die strukturellen Übereinstimmungen der Abstraktion im üblichen Sinne des Begriffs, d.h. der gedanklichen Abstraktion, und den Vorleistungen der Praxis herauszuheben, bezeichnet W. Lefèvre diese praktischen Vorleistungen ebenso als Abstraktionen: „Es liegt auf der Hand, daß die Möglichkeit solcher Erkenntnis nicht in erster Linie von intellektueller Potenz abhängt. Das Herausfinden des Identischen in den vielen besonderen Wirkprozessen zwischen Naturdingen und die Isolation der Momente an diesen Naturdingen, von denen die Wirkung abhängt, — diese theoretischen Abstraktionen setzen entsprechende, in der materiellen Produktion vollbrachte Abstraktionen voraus.“ (Lefèvre (1978) 24)
Vgl. in Macquer (1)DC vor allem die Artikel „Dissolution“, „Affinité“ und „Composition“.
N. Lemerys bedeutendste Schrift ist sein Cours de Chymie (1675). W. Hombergs Publikationen sind in den Mémoi-res der Pariser Akademie enthalten. Im Hinblick auf sein Verständnis der sauren Auflösungen und Salze siehe insbesondere Homberg(1702).
Vgl. Lemery (1675) 21 ff. und Homberg: „Il se trouve outre les sels alkalis encore une infinité d’autre matieres alkalines, qui produisent a peu prés les mêmes effets avec les acides que les sels alkalis que nous venons d’examiner: ces matieres alkalines sont de differentes natures, quelques-unes en sont pure-ment terreuses, comme la chaux, le marbre, les terres sigillés &; D’autres sont métalliques (…)“. (Homberg (1708) 319)
Homberg macht diese Bemerkung im Zusammenhang mit der Erklärung der Kristallform der Salze. Die Kristall-formen „(…) doivent (…) être attribuées aux alcalis salins, terreux ou métalliques qu’ils ont dissout, & qui leur servent de base.“ (Homberg (1702) 44)
„Quant à ce qu’on appelle sel salé, c’est un mêlange d’acide et d’alcali, ou plûtôt un alcali soulé & rempli d’acide.“ (Lemery (1675) 24)
Die Bezeichnungen Mittelsalze (Sels moyens) oder gemischte Salze (Sels mixtes), die ebenfalls für die chemisch hergestellten Salze verwendet wurden, blieben auf die aus fixen Alkalien und einer Säure hergestellten Salze beschränkt. Homberg bezeichnete diese Salze als Mittelsalze, weil sie eine Mittelstellung zwischen den fixen Alkalien und den flüchtigen Säuren einnehmen bzw. aus einem fixen und flüchtigen Bestandteil zugleich bestehen sollen: „(…) les deux sels qui les composent sont & demeurent Tun fixe & l’autre volatil.“ (Homberg (1702) 41)
Vgl. Kopp GdCh III 67.
„Comme on ne peut pas mieux expliquer la nature d’une chose aussi cachée qu’est celle d’un sel, qu’en admettant aux parties qui le composent, des figures qui répondent à tous les effets qu’il produit (…)“. (Lemery(1675) 22)
„Pour ce qui est des Alcali, on les reconnoît quand on verse de l’acide dessus; car aussi tost ou peu de temps aprés, il se fait une effervescence violente qui dure jusqu’à ce que l’acide ne trouve plus de corps à rarefier. Cet effet peut faire raisonnablement conjecture que l’alcali est une matiere composée de parties roides & cassantes dont les pores sont figurez de façon, que les pointes aeides y étant entrées, elles brisen! & écartent tout à qui s’oppose à leur mouvement, & selon que les parties qui composent cette matiere sont plus ou moins solides (…)“. (Lemery (1675) 23)
„Ily a encore à remarquer, que l’acide & 1’alcali se détruisent teliement dans leurs combat; que quand on a versé peu à peu autant d’acide qu’il en faut pour penetrer un alcali dans toutes ses parties, il n’est plus alcali (…) parce qu’il n’a plus des pores disposez comme il avoit: & l’acide rompt ses pointes (…)“. (Lemery (1675) 25)
„(…) les pointes qui faisoient sa force [sc: l’eau Regale — U.K.] sont fic hées dans les perticules de l’or.“ (Lemery (1675) 96) „(…) les pointes acides y demeurent comme enguainées et elles appesantissent le corps (…)“. (ebd. 707)
„La précipitation avec laquelle les pointes des acides entrent dans les pores des ces sortes d alcalis en éclate & en déchire le tissu, ensorte qu’ils en sont reduits en parties si menues que l’oeil ne sçauroit les plus décrouvir. C’est ainsi que ce sont les dissolutions de tous les métaux par les acides; & comme chacune de ces petites parties du métail dissout, ne laissent pas d’être toûjours du métail, ces parties se rejoignent & reparoissent en forme métallique, lorsqu’on en separe l’acide qui les avoit dissous.“ (Homberg (1702)41)
Vgl. Lemery (1675) 96 f. u. 106.
Vgl. Lemery (1675) 708 und Homberg (1708) 316.
Vgl. dazu vor allem Berthollet (1803).
Diese Kontroverse ist im Journal de Physique, de Chimie et d’Histoire naturelle der Jahre 1804 bis 1806 dokumentiert.
Im Kommentar zur Tabelle führt Geoffroy noch einmal explizit die Umsetzung dieser Möglichkeit vor. Sublimat (Quecksilber(II)-chlorid) konnte auf fünf unterschiedlichen Wegen gewonnen werden. Diese waren alle relativ kompliziert und schwer durchschaubar, weil drei bis vier Ausgangsstoffe eingesetzt wurden. Geoffroy macht diese verschiedenen Methoden der Sublimatherstellung transparent, indem er sie jeweils in mehrere Schritte zergliedert und abstrakt als chemische Reaktionen zwischen Reaktionspartnern mit unterschiedlichen stofflichen Beziehungen erklärt-vgl. Geoffroy (1718) 206–212.
Nachdem Lavoisier in seinem Tratté einige Bemerkungen zur peripatetischen Elementenlehre und der Elementen-und Prinzipientheorie der Chemisten gemacht hat, heißt es: „Tout ce qu’on peut dire sur ie nombre et sur la nature des éléments sc bornc, suivant moi, à des discussions purement métaphysique. (…) Je me contenterai done de dire que, si par le nom d’élements nous entendons désigner les molécules simples et indivisibles qui composent les corps, il est probable que nous ne les connaissons pas: que, si, au contraire, nous attachons au nom d’éléments ou de prineipes des corps I’idée du dernier terme auquel parvient 1’analyse, toutes les substances que nous n’avons encore pu décomposer par aucun moyen sont pour nous des éléments (…)“. (Lavoisier (1789)7)
Vgl. oben III. 1.
Vgl. Geoffroy (1704) u. (1709).
„Et j’ai crû qu’on pourroit déduire de ces observations la proposition suivante (…) Toutes les fois que deux substances qui ont quelque disposition à se joindre 1’une avec l’autre, se trouvent unies ensemble; s’il en survient une troisième qui ait plus de rapport avec l’une des deux, elle s’y unit en faisant lâcher prise à l’autre.“ (Geoffroy (1718) 202 f.)
Zu letzterem vgl. Toulmin (1961) 76 ff..
Schon Le Fevre spricht von der Natur als einer chemischen Maschine — vgl. LeFèvre (1660) I 22 u. 60 f..
Vgl.Thackray (1970).
Vgl. dazu von Wright (1974).
Vgl. oben III. 1.2.3.
Vgl. dazu oben III. 1 (Einleitung).
Die Chemie des 20. Jahrhunderts hat physikalische (spektroskopische) Methoden einer solchen Überprüfung entwickelt.
Vgl. oben II. 1.2.1.1.
Vgl. Geoffroy (1704) 301.
Vgl. Geoffroy (1718) 209 u. 212.
Dazu einige Beispiele. In Bezug auf Spalte 1 der Tabelle heißt es:„(…) les Sels alkalis volatils (…) lui [sc: la substance terreuse ou metallique — U.K.] feront lâcher prise & prendront sa place, s’unissant à ces mêines acides. (…) lorsque ces Sels alkalis volatils sont unis avec les Esprits acides, ils les abandonnent à l’approche des Sels alkalis fixes à qui ils cedent la place.“ (Geoffroy (1718) 204) In Bezug auf die Herstellung von Sublimat (Quecksilber (II)-chlorid) aus Sel nitreux-mercuriel (Quecksilbernitrat; un composé du Mercure uni à l’acide du Nitre-ebd. 207) und Sel marin (Kochsalz; composé de l’acide salin & d’une Terre absorbante — ebd.) heißt es: „(…) ce mê nie acide [sc: l’acide du Nitre — U.K.] (…) commencera l’action, il abandonnera le Mercure pour s’atiacher à la Terre du Sei marin, & il en détachera l’acide. Cet acide du Sel se trouvant seul & débarrassé de sa Terre, rencontrant aussi le Mercure débarrassé, se joindra à lui, & ces deux substances formeront ensemble le composé du Sublimé (…)“. (ebd. 210) (Alle Hervorhebungen U.K.)
Vgl. zu den technologischen Umwälzungen im 16. und 17. Jahrhundert, deren Reflexion für die wissenschaftliche Revolution der Mechanik ausschlaggebend war, insbesondere Grobmann (1935) und Wolff(1978) u. (1987).
„Et j’ai crû qu’on pourroit déduire de ces observations la proposition suivante (…) Toutes les fois que deux substances qui ont quelque disposition à se joindre 1’une avec 1’autre, se trouvent unies ensemble; s’il en survient une troisiéme qui ait plus de rapport avec l’une des deux, eile s’y unit en faisant lâcher prise à 1’autre.“(Geoffroy (1718) 202 f.)
„(…) une Table, où d’un coup d’oeil on pût voir les differents rapports qu’elles ont les unes avec les autres.“(Geoffroy (1718) 203)
Vgl. seinen Artikel „Affinité“ in EM I.
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© 1994 Birkhäuser Verlag
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Klein, U. (1994). Die Genese des chemischen Verbindungskonzepts. In: Verbindung und Affinität. Science Networks. Historical Studies, vol 14. Birkhäuser Basel. https://doi.org/10.1007/978-3-0348-8503-4_7
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