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“her so evil and dangerous will”: Long Live the Queen and Diplomatic Games 1558–1565

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Elizabeth I of England through Valois Eyes

Part of the book series: Queenship and Power ((QAP))

  • 422 Accesses

Abstract

This chapter analyzes how France pursued peace with England in the aftermath of the latter’s recent loss of Calais and notwithstanding the English military incursion into Scotland. We learn that the French rulers and their ambassadors repeatedly expressed their willingness to be good neighbors in their efforts to forge a strong and stable alliance with England. Next, the chapter examines how the French royal family had to adapt to Elizabeth’s unprecedented status as an independent female ruler and considers their perceptions of her as a young, inexperienced queen. Perhaps predictably, we find that their perceptions were tinged with suspicion.

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Institutional subscriptions

Notes

  1. 1.

    Cathal J. Nolan (ed.), The Age of Wars of Religion, 1000–1650: An Encyclopedia of Global Warfare and Civilization, Vol. 1 (London: Greenwood Press, 2006), 127.

  2. 2.

    The Count of Feria’s Dispatch to Philip II of Spain, November 14, 1558, edited and translated by M.J. Rodrigues-Salgado and Simon Adams, in Camden Miscellany XXVIII (London: Camden Fourth Series, Volume 29, 1984), 328.

  3. 3.

    Second Mémoire, Monsieur de la Bourdaisière allant à Rome, c. 1558, BNF MS. Fr. 15,870, fol. 29v.

  4. 4.

    Notice sur Philibert Babou de la Bourdaisière et sur le manuscrit qui contient sa correspondance, M. Henry (ed.) (Reims: Dubois Imprimeurs Libraires, 1859), i–ii; Also see Charles-Martial de Witte, “Notes sur les ambassadeurs de France à Rome et leurs correspondances sous les derniers Valois (1556–1589),” Mélanges de l’Ecole française de Rome. Moyen-Age, Temps modernes 83, 1 (1971): 89–121, 95–7.

  5. 5.

    M. Cardinal de Tournon, special envoy in Venice, to Henry II of France, January 9, 1559, in Lettres et Mémoires d’Estat des Roys, Princes, Ambassadeurs, et autres Ministres, sous les Règnes de Francis premier, Henry II & Francis II, Tome II (Paris: Francis Clouzier, 1666), 779.

  6. 6.

    Ambassades de Messieurs de Noailles en Angleterre, by Abbé de Vertot (Paris: Chez Dessaint & Saillant, 1763), 299–301.

  7. 7.

    Carole Levin, The Heart and Stomach of a King, 5–9.

  8. 8.

    Gilles de Noailles to Henry II of France, June 7, 1559, Archives des Affaires Etrangères (hereafter AE) MD Angleterre, Register IV, fol. 250, “toute seurté de vostre amitié parfaicte qu’elle ne s’en peust assez louer, ny promettre ce qu’elle a tousiours espéré du bon naturel de votre majesté.”

  9. 9.

    Jean-Francis Dreux du Radier, Tablette anecdotes et historique de rois de France depuis Pharamond jusqu’à Louis XV (Paris: Couturier, Lamy et Laporte, 1781), 189.

  10. 10.

    Gilles de Noailles to Monsieur Le Connestable, July 10, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 272, “elle me fist assez tost après venir en sa chambre en laquelle m’ayant meyné à part en une fenestre fort loing de toute compaignie.”

  11. 11.

    See Francis Decrue de Stoutz, Anne de Montmorency: Grant-Maître et Connétable de France, à la cour, aux armées et au conseil du roi Francis Ier (Paris: Eugène Plon, Nourrit et Cie, 1885); Francis Decrue de Stoutz, Anne, duc de Montmorency, connétable et pair de France sous les rois Henry II, Francis II et Charles IX (Paris: Eugène Plon, Nourrit et Cie, 1889) and Brigitte Bedos Rezak, Anne de Montmorency: seigneur de la Renaissance (Paris: Edition Publisud, 1990).

  12. 12.

    Gilles de Noailles to Monsieur Le Connestable, July 10, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 272 “souhaitant de bon Coeur que de tout ce jour (qui lui avoit esté si malheureuse) il ne se fust trouvé de lance en France, ou que sa personne eust esté portée là en sa Chambre, ou bien puisque cela estoit advenu, qu’elle fust si bonne sirurgienne que la guérison peust estre en sa main”; “Puis, se mit à parler des grandes vertus et beautéz qu’on lui avoit tousiours dict du Roy” and “depuis son advènement à ceste couronne, elle s’estoit tousiours promise qu’elle se renouvelleroit entre eux deux, aultant en plus parfaicte.”

  13. 13.

    Gilles de Noailles to Monsieur Le Connestable, July 10, 1559, fol. 273, “tous cest honneste langaige, Monseigneur, dure plus d’une heure […] lesquels contes me semblèrent tous accompagnez de beaucoup d’affection […] qu’elle avoit grande occasion de porter ennui du mal d’un si grand et veruteux Prince, qui luy estoit si parfaict amy, frère et voysin.”

  14. 14.

    Gilles de Noailles to Monsieur Le Connestable, July 10, 1559, fol. 273, “son bon frère.”

  15. 15.

    Elizabeth I of England to Henry II of France, July 10, 1559, TNA, SP 70/5, fol. 109, “grand ennuy.”

  16. 16.

    Elizabeth I of England to Henry II of France, July 10, 1559, “noz tresaffectueuses recomandations” and “vraye amitié.”

  17. 17.

    Francis II of France to Gilles de Noailles, July 12, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 275, “qu’elle se peult asseurer de m’avoir tousiours pour le meilleur frère et entier amy […] luy faire congnoistre que je ne desire rien plus que la continuation et seur establissement de nostre dicte mutuelle amitié, et l’entretement de la bonne Paix dornierement faicte et jurée entre eulx.”

  18. 18.

    Elizabeth I of England to Francis II of France, July 23, 1559, TNA, SP 70/5, fol. 163, “quelle continue en force.”

  19. 19.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 19, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 276, “elle en portoit ung merveilleux regret et ennuy dans le Coeur.”

  20. 20.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 19, 1559, fol. 277, “qu’elle avoit reçeu une extresme doulleur par la nouvelle de sa mort, ayant esté contraincte de faire plus grande demonstration et de larmes et d’abstinence de manger.”

  21. 21.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 19, 1559, fol. 278, “aviez tousiours tant aymé, suivy et embrassé ses volontéz, ses façons, jusques à ses exercises, qu’il n’y auroit que les seuls ans qui nous fissent maintenant appercevoir la difference qui pourroit estre du père au filz, et que la vraye amour et obeisance que luy et la Royne vostre mère, avoient tousiours trouvé en vous, nous avions fondé certaine espérance de vous voir l’ung des plus grand accompli, plus vertueux, et benings Prince qui ayent jamais esté. Ce que la dicte Dame se mit à louer infiniment, et comme esprise de nouvelle affection envers vous, dict et jura pas trois fois, mettant la main sur l’estomach, qu’elle nous garderoit et tiendroit inviolablement la foy et promesse de Paix.”

  22. 22.

    Francis II of France to Elizabeth I, August 30, 1559, TNA, SP 70/6, fol. 148, “un fort ennui et desplaysir […] nous avons en bon besoing de la soutien et confort de tous nos amys.”

  23. 23.

    Francis II of France to Elizabeth I, August 30, 1559, “mutuelle et parfaicte affection.”

  24. 24.

    Catherine de Medici to Elizabeth I, September 11, 1559, in Lettres de Catherine de Médicis, (later referred as LCM) publiées par le Ct Hector de la Ferrière, Tome 1 (Paris: Imprimerie Nationale, 1880), 125, “si saige et prudente consolation que vous nous donnez.”

  25. 25.

    Catherine de Medici to Elizabeth I, September 11, 1559, 125, “la douleur que nous ressentons de la perte que nous avons l’aide du feu Roy nostre tres honoré seigneur et mary nous est si récente et si lamentable et en portons ung si extreme ennui, regret et desplaisir que nous avons bon besoing que Dieu qui nous a visité de ceste affection nous donne la force de pouvoir supporter.”

  26. 26.

    Catherine de Medici to Elizabeth I, September 11, 1559, 126, “accroiste et augmenter au commun bien, repoz et tranquillité de noz royaumes, estatz et pays.”

  27. 27.

    Kathleen Wellman explains that “after Henry’s death, Catherine emerged as a political force, although her position was initially ambiguous.” This statement demonstrates that the queen mother had to be taken into consideration when dealing with France. See Kathleen Wellman, Queens and Mistresses of Renaissance France (New Haven and London: Yale University Press, 2013), 236.

  28. 28.

    Francis II of France to Gilles de Noailles, January 5, 1560, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 359.

  29. 29.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, January 20, 1560, AE MD Angleterre, fol. 352, “avec ung for bon visaige, et autres paroles pleines de toute bonne volunté.”

  30. 30.

    Michel de Seure to Francis II of France, September 24, 1560, in David Potter (ed.), A Knight of Malta at the Court of Elizabeth I: The Correspondence of Michel de Seure, French Ambassador, 1560–1561 (Cambridge: Cambridge University Press, Camden Fifth Series), 59, “elle me respondit premièrement que l’on cognoistroit tousjours de son costé une sincérité d’amytié et vrray désir de la conserver.”

  31. 31.

    Michel de Seure to Charles IX of France, January 23, 1561, in A Knight of Malta, 68, “qu’elle n’avoict jamais rien de si cher que la paix et l’amitié des Roys ses voysins, comme la chose plus precieuse que Dieu leur peust envoyer quant ilz sont dignes de sa grace que la guerre estoict le propre des pauvres et necessiteulx et non de ceulx qui ont tant de si beaulx estatz.”

  32. 32.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 19, 1559, fol. 277, “de ce qu’il luy avoit pleu establir une si ferme et seure amitié avec Elle, qu’en si extrémité mesme il avoit eu souvenance de la planter dans le coeur de vous, Sire, qui estes son filz et son successeur, où elle s’attend de la veoir si vifrement enracinée, qu’elle produira tous les bons et mutuelz effectz qui sont requis pour la seureté et entretenement de la Paix, et bonne intelligence d’entre vos deux majestez.”

  33. 33.

    Elizabeth I of England to Charles IX of France, December 29, 1564, BNF MS. Fr. 6613, fol. 70, “fonder vostre amitié qui vous semble d’avoir déjà prins si bonne racine en vostre cueur que ne se pourra aisément esbranler ny diminuer, sur laquelle espérance entendons et aussy avons déjà commence de planter en nostre cueur la mesme plante de vraye amitié envers vous, si que nous espérons que avec l’aide de Dieu ces deux plantes seront de longue durée et produisent tels fruits que oultre les plaisirs qui en viendront à nous memes, nos royaulmes pays et peuples en recepvront aussy grand profit.”

  34. 34.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, March 1560, in LCM, Tome 1, 33, “sans ceste lettre de moy.”

  35. 35.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, March 1560.

  36. 36.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, February 20, 1560, in LCM, Tome 1, 170, “c’est une des choses de ce monde que plus nous désirons.”

  37. 37.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, July 27, 1562, in LCM, Tome 1, 366, “Nous cognoissons tousjours de plus en plus l’inclination bonne et singulière affection que vous avez au bien de ce royaulme par les honnestes propos, bons & amyables depportemens dons vous usez envers nous.”

  38. 38.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, November 9, 1564, in Lettres de Catherine de Médicis, (later referred as LCM) publiées par le Ct Hector de la Ferrière, 1563–1566, Tome II (Paris: Imprimerie Nationale, 1885), 233, “Nous cognoissons tousjours de plus en plus l’inclination bonne et singulière affection que vous avez au bien de ce royaulme par les honnestes propos, bons & amyables depportemens dons vous usez envers nous.”

  39. 39.

    Catherine and Francis II used such greetings—marking somehow a certain distance between them and Elizabeth, see letters mentioned above. For a specific example, see Catherine de Medici to Elizabeth I of England, November 9, 1564, 233, “Très haulte et très excellente princesse nostre très chère et amée seur et cousine.”

  40. 40.

    Gilles de Noailles to Monsieur de Gondran, Garde des Sceaux de Dijon, pour faire entre au Roy et à Monsieur Le Connestable, June 15, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 251, “le secrétaire Cecil y a plus grande voix, et que aussy sa Maistresse se repose le plus en luy de tous affaires d’Estat.”

  41. 41.

    Gilles de Noailles to Monsieur de Gondran, fol. 251, “la dicte Dame n’a aucune envie de se marier: pour le moings, tous ses parens en ont telle paour, qu’ils ne se peuvent garder de s’en plaindre.”

  42. 42.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, September 10, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 311, “mariaige de la dicte Princesse avec l’ung des Princes de Saxe, nommé Frédéric.”

  43. 43.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, September 10, 1559, fol. 311, “L’on attend icy en brief le Duc de Finelant, second filz du Roy de Suedde pour le mariaige de son frère aisné avecque cette dicte Princesse, et vient par mere en six beaulx navires, si grandement accompaigné de gentilshommes et serviteurs, qu’on faict compte de cinq cent hommes pour le moing.”

  44. 44.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, October 6, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 320, “mercredy dernier arriva en ceste ville le Duc de Finelan, second filz du Roy de Suedde, ayant ceste Royne envoyé au devant de lui son Grand Escuyer pour le recepvoir à deux ou trois mile d’icy.”

  45. 45.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, October 6, 1559, fol. 320, “Dimanche prochain, il verra la dicte Dame avec laquelle je ne sçay comme il fera: mais on a une grande opinion que ce ne sera comme il desire […] y a personne qui puisse bien juger de ces choses, tant il se voiet encores d’incertitude, et peu de resolution en la dicte Royne.”

  46. 46.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, November 2, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 339, “Les Ambassadeurs de l’Empereur et du Roy Catholicque sollicitent par ensemble et fort vifvement le Mariaige de M. l’Archiduc avec ceste Princesses; et vendredy dernier la dicte Dame leur donna Audience toute la matinée dans son Jardin se promenant entre eux deux l’espace de trois heyres, et pense l’on que ce party soit pour recepvoir conclusion, faisans tousles Seigneurs de ce dict Conseil, et les plus Grandz de deça beaucoup d’honneur et faveur au dict Ambassadeur de l’Empereur.”

  47. 47.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, November 2, 1559, fol. 339, “Toutesfois, j’ose croyre qu’Elle n’est encore preste à se resouldre d’estuy-cy ny d’aultre, et qu’Elle vouldra encore temporizer, bien que si Elle se croit en affaires et nécessité, il seroit à estimer qu’elle pourroit aysément se laisser aller à ce party pour l’espérance d’en avoir plus de secours et appuy que d’autre qui se présente.”

  48. 48.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, December 9, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 341, “la dicte Royne s’enquist du partement de la Royne d’Espaigne, et dict que ce temps luy sembloit mal propre pour ung si long voiaige. Je luy repondis que la difficulté et longueur du chemin, et encores plus, la separation de ses très chers parents luy pourroient donner quelque pensement et regrect, mais que tout cela se supporteroit plus aisément, pour le Plaisir d’aller trouver le Roy d’Espaigne son Mary.”

  49. 49.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, December 9, 1559, fol. 341, “A quoy, en riant, Elle réplicqua si’l y avoir Plaisir d’aller chercher le mary, et que de sa part, Elle cuydoit n’en pouvoir trouver ung, si Elle ne l’alloit prier.”

  50. 50.

    Michel de Seure to Charles IX of France, November 4, 1561, in in A Knight of Malta, 99, “la dicte dame Royne d’Angleterre ne vault aulcunement entrer en ceste matiere de declarer son successeur qui est le seul poinct qui lui pourroict plus troubler son repos pour beaucoup de raisons qu’elle a sçeu alleguer, entre lesquelles est comptée l’inconstance de ceste nation et la prevue qu’elle en a veue en son endroict vivant la Royne Marie sa soeur pour ce desir que plusieurs avoient de changement selon leur inclination.”

  51. 51.

    Historians such as Susan Doran and Carole Levin have mentioned and analyzed Elizabeth’s reluctance to marry on this basis: see Susan Doran, Monarchy and Matrimony: The Courtship of Elizabeth I (London and New York: Routledge, 1996); Carole Levin, The Reign of Elizabeth I (New York: Palgrave, 2001) and Carole Levin, The Heart and Stomach of a King.

  52. 52.

    For more references on Elizabeth’s marriage negotiations with the Duke of Anjou, see Chap. 5.

  53. 53.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, March 3, 1564, BNF MS. Fr. 6613, fol. 13, “elle pourroit clairement cognoitre combien Votre Majesté cherchoit sa grandeur […] la bonne affection qu’elle vous rendoit.”

  54. 54.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, March 3, 1564, “Et commença à discourir des grandes grace que Votre Majesté avoit reçeues de Dieu, s’estant veue femme du plus grand et premier Roy de la Chrétienté, mère de deux Roys, à present veoir ensemble un Roy de France et Royne d’Espaigne, vos enfans esleuz en si hault degré d’honneur qu’il ny’en a point de plus en la Chrétienté.”

  55. 55.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, March 3, 1564, “Et je luy dis que ces graces prandroit grand accroissement si vous voiez accompaigné le Roy avec une Royne si grande et vertueuse qu’elle.”

  56. 56.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, March 3, 1564, “Adjoustant que Monsieur Cecil estoit venu sur ces propos parler à moy et en fin avoir trouvé toutes les commoditez pour leurs personnes, alléguant seullement quelques incommodité des subjetz.”

  57. 57.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, March 3, 1564, “Et la dicte Royne interrompant ce propos me dit: que le dict Cecil avoit drssé par escript certaines difficultez, lesquelles Elle n’avoit point voulu qu’elles me fussent baillées parcequ’elles estoient recherchées de trop loing, et qu’elle n’en y trouvoit qu’une qui estoit l’inégualité de l’aage.”

  58. 58.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, January 24, 1565, BNF MS. Fr. 15,888, fol. 234, “désirerois avec elle d’estraindre ceste nostre amitié d’ung plus étroit lien, et me sentirois la plus heureuse mè du monde, si ung de mes enfans d’une bien aimé seur m’en avoit faict une très chère fille, au grand honneur, bien et grandeur de nos Estatz.”

  59. 59.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, January 24, 1565, “Mais, Dyey mercy, noz pays sont si voisins, qu’il ne fault que trois heures de passer l’un à l’aultre.”

  60. 60.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, February 14, 1565, BNF MS. Fr. 15,888, fol. 235, “Ladicte dame changera plusieurs fois de couleur et de contenance, comme une personne enprinse de joye, meslée à une honneste vergogne, et, après avoir oy la lecture, dist que par le grand honneur que la Royne luy faisoit, elle s’en sentoit tant redevable, que, quoy qu’il advent, elle lui rendroit toutte sa vie pareille affection que sy elle lui estoit née fille.”

  61. 61.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, February 14, 1565, “Disaoit que pleust à Dieu qu’elle fust plus jeune de dix ans pour pouvoir participer à ung si grand bien, mais qu’elle pensoit que la Royne n’eust pas esté bien informée de son age, qui estoit tel. qu’elle craignoyt que enfin il n’en advent raproche à la Royne et au Roy et à elle beaucoup de mécontentement, d’aultant que en la grande jeunesse du Roy elle se trouveroit ja vieille et partant mal agréable et délaissée de luy comme la feue royne Marie sa soeur avoyt esté du roi d’Espagne.

  62. 62.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, June 4, 1565, “La grandeur du roy […] menace ce royaulme avec servitude et oppression […] Et pour ce que ces soupzçons et crainctes cessent en la personne de l’archiduc Charles, ils trouvoient le mariaige avecques luy moins dangereux pour cela.”

  63. 63.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, June 4, 1565, fol. 32v, “la Royne d’Angleterre aye déclarée plusieurs fois qu’elle ne se vouloyt marier à aucun de son royaume.”

  64. 64.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, June 4, 1565, fol. 33v, “Je trouvoys en ses propos et en sa parole qu’elle s’estoyt beaucoup refroidye.”

  65. 65.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, July 31, 1565, in LCM, Tome II, 307.

  66. 66.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, July 31, 1565, “c’estoit se mettre en dangier de laisser son royaume sans postérité descendue d’elle, qui leur estoit plus que necessaire pour le bien et le repos du royaume.”

  67. 67.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, July 31, 1565, “le mesme contantement que luy mesme.”

  68. 68.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, July 31, 1565, 308, “venant la royne d’Angleterre à décéder sans enffans, elle [Mary Stuart] et le conte de Roze son mary feussent appellez à la couronne d’Angleterre sans aucune difficulté.”

  69. 69.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, July 31, 1565, “elle se pourroit asseurer que le Roy mondict sieur et filez et moy ne luy demeurerions moings bons et seurs amys […]n’advint diminution ny altercation de nos communes et parfaictes amitiez.”

  70. 70.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, July 31, 1565, 310, “Quant à vostre congé, vous ne le pouvez avoir que nous n’ayons premièrement veu ce qui réussira du faict du mariage de ladicte royne d’Angleterre, pour lequel je n’estime vostre demeure et presence par dela moings utile et necessaire qu’elle a esté jusque à present.”

  71. 71.

    Michel de Seure to Jacques de la Brosse, March 7, 1559–1560, in A Knight in Malta, 41, “elle en parle en vertueuse et bonne princesse.”

  72. 72.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, February 1, 1560, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 358, “sçachant bien que si son Royaulme estoit petit, il en estoit d’autant plus ayse à garder, et que bien qu’Elle fust femme, Elle estoit neantmoings fille des Prédecesseurs qui l’avoient sçeu conserver jusques icy.”

  73. 73.

    Queen Elizabeth’s Armada Speech to the troops at Tilbury, 9 August 1588, in Elizabeth I: Collected Works, 326.

  74. 74.

    See the discussion regarding if Elizabeth actually said these words or not: see Elizabeth I: Collected Works, 325 where Leah S. Marcus, Janel Mueller, and Mary Beth Rose expressed “little doubt that her speech was actually delivered.” Also see, Carole Levin, The Heart and Stomach, 144–7.

  75. 75.

    See Estelle Paranque, “Queen Elizabeth I and the Elizabethan Court in the French Ambassador’s Eyes,” in Queen Matters in Early Modern Studies, ed. by Anna Riehl Bertolet (New York: Palgrave Macmillan, 2017), 267–84. Also see, Kevin Sharpe’s compelling analysis of the Tilbury Speech, Kevin Sharpe, Selling the Tudor Monarchy: Authority and Image in Sixteenth Century England (New Haven and London: Yale University Press, 2009), 337.

  76. 76.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, February 1, 1560, fol. 357, “trouvé la dicte Royne en une gallerie où elle se promenait accompaignée de quatre ou cinq Dames seullement.”

  77. 77.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 299, “Sire, je revins bientost de Horsley où est encores ceste Royne en une maison de son Admiral, distant 24 mil d’icy, en laquelle assez tost après, on me mena en la chambre privée de la dicte Dame, où je ne la trouvay, mais elle y survint aussy tost, vestue d’une robe fourrée […]elle avoit esté bien mallade de trois gros accès de fièvre, dont les premiers avoient esté en deux jours consécutifs, et ce tiers deux aultres jours après, de sorte qu’elle se craignoit d’une quarte.”

  78. 78.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, “d’alla asseoir près d’une fenestre, au devant de laquelle son Grand Escuyer, et dix ou onze aultres Gentilshommes se tenoient prestz pour luy donner du Plaisir à voir courre la Bague.”

  79. 79.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, “me demanda quelles nouvelles j’avois de France.”

  80. 80.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, fol. 300.

  81. 81.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, “Vostre dicte Majesté l’en avoit bien voulu advertir saichant assy qu’elle auroit Plaisir de veroi qu’il se pourreust ainsi à vos affaires, estimant que les vostre et les siens, n’estoient entre vos majestés qu’une mesme chose. Elle me dict que c’estoit faict en bon frère et amy que de luy donner cest advertisement.”

  82. 82.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, “et après ce elle se remit à veoir courre et me parler d’autre chose que des Chevaliers et de leurs meilleurs coups.”

  83. 83.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 22, 1559, “se leva de sa Chaise et demanda des carreaulx pour s’asseoir bas, disant que la chaise lui faisoit mal: puis me pria de m’approcher et de vouloir prendre la peyne de me baisser, me prétendant ung carreau pour mettre soubz le genouil mais l’ayant plié, comme je fis aussy tost sur la natte seullement, elle me commanda par deux fois de le prendre, ou que aultrement me permettrait jamais que je parlasse ainsy à Elle.”

  84. 84.

    ODNB, James Hamilton, third earl of Arran, (1537/8–1609), Rosalind K. Marshall. Accessed on 18 April 2018.

  85. 85.

    Elizabeth to Throckmorton, August 28, 1559, SP 70/6 fol. 142; and Cecil to Throckmorton, August 29, 1559, SP 70/6 fol. 144.

  86. 86.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 28, 1559, fol. 304, “comme esbahye, feignant ne congnoistre ny entendre de qui je parlois, après le luy avoir derechef bien remontré, me respondit qu’elle ne sçavoit où estoit le dict Comte.”

  87. 87.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, August 28, 1559, “non seulement par l’obligation du Traicté, mais par honnesteté et amitié.”

  88. 88.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, January 20, 1560, fol. 354, “la dicte Dame fit au comment l’estonnée et ignorante […] Ce que entendant la dicte Dame le print ung peu à penser et puis avec une petite saillie, me dict que à la vérité, je luy faisois recorder d’en avoir ouy parler le soir precedent ainsy qu’Elle jouait au detz avec autens de ses Seigneurs mais qu’Elle ne pouvoit penser ne croire que les serviteurs et ministres qu’Elle en tient en ceste Frontière eussent aulteure intelligence de ceste menée.”

  89. 89.

    Jackie Eales discussed the importance of chess as diplomatic and political tool. She presented a paper at Queen’s House Conference 2018: Elizabeth I: The Armada and Beyond, 1588–2018, entitled “Chess, Court Culture, and Queenship in the Age of the Armada.”

  90. 90.

    Discours de Paul de Foix, 6 June, 1565, BNF MS. Fr. 15,888, fol. 325, “trouvant la dicte dame en sa chamber privée, qui jouoyt aux eschetz, et pour ce qu’il avoit entendu qu’elle estoyt fort faschée de ce que la reine d’Escosse se marier avec le filz du comte de Lenos.”

  91. 91.

    Discours de Paul de Foix, 6 June, 1565, “luy dist que le jeux des echetz esttoyt une ymage du discours et prevoiyances et aulcunes des actions des hommes, où quand l’un perdoyt un pion il sembloit que ce feust peu de choses, toutefois bien souvent il apportoyt la perte de tout le jeu.”

  92. 92.

    Discours de Paul de Foix, 6 June, 1565, “A quoy la dicte dame respondit qu’elle entendoit bien que le filz du comte de Lenos n’estre que ung pion, mais qu’il seroit bien pour luy donner mal sy elle n’y prenoit garde.”

  93. 93.

    Discours de Paul de Foix, 6 June, 1565, “elle se plaignoit grandement de la desloyaulté dudict comte de Lenos et son filz, monstrant avoir vollunté de leur faire le pire qu’elle pourroyt.”

  94. 94.

    Gilles de Noailles to Monsieur de Gondran, Garde des Sceaux de Dijon, pour informer le Roy et Monsieur le Connestable, June 15, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 253, “Que toutesfois la dicte Royne et tous ceux de son Royulme ne laissent d’estre en continuelle peyne et craincte du cousté de France pour doubte qu’ils ont que de ceste part, il ne leur doit reserve quelque mauvaise pensée à cause des pretentions des Roy et Royne Daulphins.”

  95. 95.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, January 12, 1560, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 350, “c’est que la Royne a prins ses armes et Tiltre d’Angleterre, prétendans ester une forme d’hostilité.”

  96. 96.

    Michel de Seure to Marie de Guise, March 8, 1559/1560, in A Knight of Malta, 44, “du tiltre que la Royne vostre fille a pris de ce roiaume, et des armories qu’elle en porte.”

  97. 97.

    Michel de Seure to Francis II of France, September 24, 1560, in A Knight of Malta, 58.

  98. 98.

    Michel de Seure to Francis II of France, September 24, 1560, 60, “Je cherchay de l’adoulcir le plus qui me feust possible.”

  99. 99.

    Michel de Seure to Francis II of France, September 24, 1560, “elle avoict esté contraincte d’entrer pour conserver son royaume et sa reputation […] quand l’on vouldroict abuser de son amitié comme elle l’avoict faict au passé.”

  100. 100.

    Michel de Seure to Charles IX of France, January 23, 1561, in A Knight of Malta, 70–73, “la Royne vostre soeur portoict encores ses armoiries.”

  101. 101.

    Michel de Seure to Charles IX of France, August 21, 1561, in A Knight of Malta, 93.

  102. 102.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, September 21, 1562, in LCM, Tome I, 405, “fait bailler à vostre homme, suivant la requeste que vous m’en avez faicte, un passeport pour le voyaige qu’il va faire en Angleterre, non qu’il luy soit aulcunement necessaire, pour la liberté que vous sçavez bien avoir tousjours eue d’envoyer audict pays toutes et quants fois que bon vous a semblé.”

  103. 103.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, September 21, 1562, 406, “vous faictes tort à la sincere et parfaite amytié qui est entre la royne d’Angleterre, ma bonne seur, et nous, de me demander un sauf-conduit pour me venir trouver; car, comme je vous ay déjà escript, il ne vous en fault point de meilleur ny plus seur que le nom de la princesse que vous servez et le lieu que vous tenez en ce royaume de son ambassadeur, qui sera toujours respecté et honoté de nous jusqueus au bout.”

  104. 104.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, September 21, 1562, 406.

  105. 105.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, October 8, 1562, in LCM, Tome I, 415.

  106. 106.

    For other complaints regarding good being stolen and ships being vandalized, see the following letters: Catherine de Medici to Paul de Foix, January 15, 1564, in LCM, Tome II, 139; Catherine de Medici to Elizabeth I of England, January 10, 1565, 251 and Catherine de Medici to Elizabeth I of England, September 16, 1565, 317.

  107. 107.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, August 2, 1562, in LCM, Tome I, 367, “pour le respect de l’entreténement de la bonne paix et parfaicte amitié qui est entre nous.”

  108. 108.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, September 5, 1562, in LCM, Tome I, 395, “j’ay aussi entendu la plaincte que la reyne d’Angleterre ma bonne seur vous a faicte d’aucuns navires anglois arrestés en Bretaigne et déprédations faictes sur ses subjects.”

  109. 109.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, September 5, 1562, 396.

  110. 110.

    Catherine de Medici to Sir Throckmorton, September 17, 1562, LCM, Tome I, 400–2.

  111. 111.

    Catherine de Medici to Thomas Smith, July 26, 1563, in LCM, Tome II, 74–75, “pour sçavoir certainement les maulvais offices qu’il a faicts en ce royaulme pendant qu’il y a esté. Ne pouvant pour ceste cause riens espérer de bon de sa veneue, j’ay, pour soubçon, délibéré envoyer un homme près de luy pour observer ses actions.”

  112. 112.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, July 24, 1562, BNF MS. Fr. 6612, fol. 105, “l’on arresta tous les navires qui sont trouvez sur la rivière de Thamize près ceste ville de Londres, tant des Anglois, que Estrangers, Francis, Espagnolz et flamans.”

  113. 113.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, July 27, 1562, BNF MS. Fr. 6612, fol. 110, “disant que Dieu luy avoit mis ses subjects soubz sa charge, pour estre soigneusement de leur bien et salut, et obvier à tout ce qui sembleroit les menasser d’aucung danger, ce qu’elle feroit tant que Dieu luy donneroit vie, récompensant par sa diligence ce qu’il pourroit estre de faulte en elle pour l’infirmité et imprudence du sexe, et d’autant qu’il sembloit que les guerres de France les menacent de quelques dangers, estans les forces si proches en Normandie.”

  114. 114.

    On Elizabeth’s father figure, see Estelle Paranque, “Royal Representations Through the Warrior and Father Figures in Early Modern Europe,” in History of Monarchy, Elena Woodacre (ed.) (London: Routledge, forthcoming 2019).

  115. 115.

    Catherine de Medici to Elizabeth I of England, January 25, 1563, in LCM, Tome I, 486–7.

  116. 116.

    Elizabeth I of England to Catherine de Medici, February 7, 1563, in LCM, Tome I, 486, “bien estrange, et aussi les requestes tells que ne les pouvons pas accorder en la manière qu’elles sont faictes et fondées.”

  117. 117.

    Elizabeth I of England to Catherine de Medici, February 7, 1563, “Quant à son emprisonnement il a été si favorablement traité, n’estant en autre lieu qu’en la maison d’un des principaux marchands et conseillers de nostre ville de Londres, que nous pensions et attendions plus tost en estre remerciée que blasmée.”

  118. 118.

    Elizabeth I of England to Catherine de Medici, February 7, 1563, 487, “que nous ne cognoissons sauf Dieu aucun supérieur.”

  119. 119.

    Gilles de Noailles to Monsieur de Gondran, Garde des Sceaux de Dijon, pour informer le Roy et Monsieur le Connestable, June 15, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 253.

  120. 120.

    Gilles de Noailles to Henry II of France, July 1, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 259, “Ceste Royne faict armer et esquipper en toute diligence trois grands vaisseaulx neufs qui n’ont encores esté sur mer.”

  121. 121.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, November 22, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 339.

  122. 122.

    Advis d’Angleterre envoyez au Roi par l’Ambassadeur Gilles de Noailles, November 9, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 334.

  123. 123.

    Michel de Seure to Charles IX of France, January 23, 1561, in A Knight of Malta, 67–68.

  124. 124.

    See Paul de Foix to Catherine de Medici, June 6, 1562, BNF MS. Fr. 6612, fol. 54 and Paul de Foix to Catherine de Medici, June 13, 1562, BNF MS. Fr. 6612, fol. 59v.

  125. 125.

    Paul de Foix to Catherine de Medici, July 1, 1562, BNF MS. Fr. 6612, fol. 84, “il a esté ordonné par le Conseil de la Royne d’Angleterre, douze navires pour se mettre en mer soubz la conduit de Maistre Winther Vis-Admiral de North, qui est ung des plus entendus de ce pays au faict de la Marine.”

  126. 126.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, May 17, 1563, in LCM, Tome II, 39–40, “les propoz de sondict ambassadeur, que parolles incertaines, ambigues et confuzes.”

  127. 127.

    Catherine de Medici to Paul de Foix, May 17, 1563, 40–41.

  128. 128.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 29, 1559, AE MD Angleterre, Register IV, fol. 281, “ceste Royne s’acheminan vers l’Isle de Choppet s’est trouvé ung peu mal en la maison du Millord Cobam après ung grand festin qui luy avoit esté là prepare, de sorte que cela a esté cause d’interrompre son voyage, s’estant contentée d’avoir esté jusqu’à Gerlingam voir son equipage de mer, qui s’est trouvé de 28 vaisseaux.”

  129. 129.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 29, 1559, “ayant donné pour quelques jours congé à la pluspart du reste des Mariniers, et Gens qui estoient sur les autres navires, et faict ressser l’equipage, elle s’est rapprochée à Houatford à huict mil de ceste ville, et se dict que de là, ira passer par des maisons de Heltan, de Nonchis et Hontoncourt, et se render dans quinze jours à Richmont, pour y faire quelque residence.”

  130. 130.

    Gilles de Noailles to Francis II of France, July 29, 1559, “la dicte Dame entra en son conseil, où elle n’avoit encores esté, et y fus deux heures et demye … j’ay eu advis, Sire, que audict Conseil où la dicte Dame assista, avoient esté mandez le Trésorier de la Marine, et le Maistre Pourvoyeur des vietuailles et munitions de navires pour sçavoir dans quell temps ilz en pourroient avoir appresté vingt, esquipez en guerre, avec l’avituellement de deux mois pour trois mille hommes et enfin tout ordonner audict Maistre Pouvoyeur, d’achepter six cens boeufs sur son credit et les faire tuer et saller, au reste qu’il seroit mis ordre que les navires et hommes fussent prests, quand ilz serotine commandé par la dicte Dame dans 15 jours de l’advertisemment.”

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Paranque, E. (2019). “her so evil and dangerous will”: Long Live the Queen and Diplomatic Games 1558–1565. In: Elizabeth I of England through Valois Eyes. Queenship and Power. Palgrave Macmillan, Cham. https://doi.org/10.1007/978-3-030-01529-9_2

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