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Part of the book series: « Médecines D’Asie — Savoirs & Pratiques » ((MEDASIE))

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Résumé

Cela nous rappelle le Qi chinois. À l’époque d’Asclépiade, mais à des milliers de kilomètres plus à l’est, cela désignait également de minuscules particules de matière. Elles formaient la matière et circulaient à travers cette matière. Cette libre circulation est la condition de la vie. La paralysie, c’est la maladie. Mais Asclépiade ne fut pas influencé par les Chinois. Ce sont Démocrite et Épicure, plusieurs siècles auparavant, qui lui avaient donné une base. C’est exactement là que réside l’énigme. Déjà trois siècles avant Asclépiade, toutes les pensées avaient été exprimées, pensées dont il s’empara désormais et qu’il transmit avec succès à un grand nombre de partisans. Pourquoi une telle école ne s’était-elle pas déjà créée des siècles auparavant? Qu’est-ce qui transmettait seulement maintenant à ces représentations la vraisemblance nécessaire à ce que beaucoup de gens pensent la même chose?

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  1. Georg Harig und Peter Schneck (1990) Geschichte der Medizin. Berlin, Verlag Gesundheit GmbH, p. 53.

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© 2012 Springer-Verlag France, Paris

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Unschuld, P.U. (2012). La maladie comme arrêt. In: Approches occidentales et orientales de la guérison. « Médecines D’Asie — Savoirs & Pratiques ». Springer, Paris. https://doi.org/10.1007/978-2-8178-0330-2_34

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  • Print ISBN: 978-2-8178-0329-6

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