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Nationalistische und antisemitische ressentiments von wissenschaftlern gegen Einstein

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Einstein Symposion Berlin

Part of the book series: Lecture Notes in Physics ((LNP,volume 100))

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Anmerkungen

  1. Wilhelm Wien, Die Relativitätstheorie vom Standpunkte der Physik und Erkenntnislehre, Leipzig 1921, S. 13.

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  2. So z.B. Friedrich Reinhard Lipsius, Wahrheit und Irrtum in der Relativitätstheorie, T übingen 1927, S. 3; Oskar Kraus, Offene Briefe an Albert Einstein und Max von Laue, Wien und Leipzig 1925, S. X.

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  3. H. Fricke, Der Fehler in Einsteins Relativitätstheorie, Wolfenbüttel 1920.

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  4. Johannes Heinsohn, Einstein-Dämmerung. Kritische Betrachtungen zur Relativitätstheorie, Leipzig 1933

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  5. Vorwort zu der Schrift von Heinsohn (Anm. 4).

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  6. Der Krieg der Geister. Eine Auslese deutscher und ausländischer Stimmen zum Weltkriege. Hrsg. von Werner Kellermann, Dresden 1915.

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  7. IB. S. 64-69

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  8. Vgl. dazu Harry W. Paul, The Sorcerer's Apprentice, The French Scientist's Image of German Science 1840–1919, Gainesville 1972; Brigitte Schroeder-Gudehus, Les scientifiques et la paix, Montr éal 1978, S. 63–97.

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  9. Pierre Duhem, La science allemande, Paris 1915, S. 4

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  10. Albert Dastre, Du rôle restreint d é l'Allemagne dans le progr ès des sciences, in: Gabriel Petit et Maurice Leudet (Hrsg.): Les Allemands et la Science, Paris 1916, S. 75–97, hier S. 80.

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  11. Pierre Duhem, Science allemande et vertus allemandes, in: Petit/ Leudet, a.a.0., S. 137–152, hier S. 138.

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  12. Um die nach Duhem typisch deutschen Merkmale mathematischer und physikalischer Theorien geht es in seinem Aufsatz “Quelques réflexions sur la science allemande”, in: Revue des deux mon des, 25 (1915) S. 657–685.

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  13. “Le Germain est laborieux, (...) le Germain est minutieux, (...) le Germain est discipliné, (...) le Germain est soumis.” Duhem, Science allemande ... (Anm. 11), S. 140.

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  14. “a partir de postulats librement formul és”, Duhem, Quelques réflexions ... (Anm. 12), S. 669.

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  15. Que le principe de relativit é d éconcerte toutes les intuitions du sens commun, ce n'est pas, bien au contraire, pour exciter contre lui la méfiance des physiciens allemands. Le recevoir, c'est, par le fait même, renverser toutes les doctrines où il etait parl é de l'espace, du temps, du mouvement, toutes les théories de la Mécanique et de la Physique; une telle d évastation n'a rien qui puisse déplaire à la pensée germanique; sur le terrain qu'elle aura déblayé des doctrines anciennes, l'esprit géométrique des Allemands s'en donnera à coeur joie de reconstruire toute une Physique dont le principe de relativité sera le fondement. Si cette Physique nouvelle, dédaigneuse du sens commun, heurte tout ce que l'observation et l'expérience avaient permis de construire dans le domaine de la Mécanique céleste et terrestre, la méthode purement déductive n'en sera que plus fière de l'inflexible rigueur avec laquelle elle aura suivi jusqu'au bout les conséquences ruineuses de son postulat. (...) Ainsi s'est faite la Physique de la relativité; ainsi la science allemande progresse, fi ère de sa rigidité algébrique, regardant avec mépris le bon sens que tous les hommes ont reçu en partage. Ib. S. 681–683.

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  16. Le principe de relativité est la base d'une évolution scientifique qui ne peut être mieux comparée qu'au futurisme et au cubisme. dans l'art. Tout ce qui peut se réclamer de la tradition ou du. bon sens est inexorablement piétiné. Le seul souci de cette école est de heurter et détruire. Plus les d éductions semblent absurdes, plus elles lui apparaissent kolossales et supérieures aux vérités admises, et l'on se trouve bientôt en présence d'un chaos où fusionnent en hurlant le concret et l'abstrait. Nous emprunterons un bon exemple de ce délire mathématico-métaphysique à la théorie des quanta de Max Planck, professeur de physique à Berlin, un des 93 intellectuels d'outre-Rhin. Planck a ét é amené à concevoir que les différentes formes de l'énergie, la lumière, la chaleur, etc., sont réductibles en parties aliquotes indivisibles, les quanta. Prenant ces abstractions pour des réalités, il introduit aussitôt la notion essentiellement concrète d'atome et accorde à la lumière, à la chaleur, etc., une structure atomique. Il y aurait donc des atomes de chaleur, de lumière, d'énergie mécanique (!), enfin d'énergie en général: en vertu du principe de relativité, ces atomes posséderaient même und masse douée d'inertie (!!). Pierre Jean Achalme, La science dés civilisés et la science allemande, Paris 1916, S. 162.

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  17. Zu den Beziehungen zwischen Lenard und Einstein vgl. Andreas Kleinert und Charlotte Schönbeck, Lenard und Einstein, Ihr Briefwechsel und ihr Verhältnis vor der Nauheimer Diskussion von 1920, in: Gesnerus, 35 (1978) S. 318–333.

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  18. Albert Einstein, Dialog über Einwände gegen die Relativitätstheorie, in: Die Naturwissenschaften,. 6 (1918) S. 697–702

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  19. Philipp Lenard, Über Äther und Uräther, 2. Aufl. Leipzig 1922, S. 3

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  20. Ib. S. 9

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  21. Ib. S. 9

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  22. Zu Einsteins Zeitungsartikel und Lenards Reaktion vgl. Kleinert/ Schönbeck (Anm. 17), S. 328 ff.

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  23. Völkischer Beobachter, 13. 5. 1933, Falsch wiedergegeben wird dieser Artikel bei Philipp Frank, Albert Einstein. Sein Leben und seine Zeit, M ünchen 1949, S. 376; ferner bei Edgar Lüscher: Experimentalphysik I, Mannheim 1967, S. 47.

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  24. Zur Geschichte der “Deutschen Physik” vgl. Alan D. Beyerchen, Scientists under Hitler. Politics and the Physics Community in the Third Reich, New Haven u. London 1977.

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  25. Alle Zitate dieses Abschnitts aus Philipp Lenard, Deutsche Physik, 2. Aufl. M ünchen u. Berlin 1938, S. IX–X.

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  26. Lenards erste ablehnende Äußerung gegenüber der Speziellen Relativitätstheorie findet sich in dem Artikel “Über Äther und Uräther”, in: Jahrbuch der Radioaktivität und Elektronik, 17 (1920) S. 307–356, hier S. 309.

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  27. Johannes Stark, Die gegenwärtige Krisis in der deutschen Physik, Leipzig 1922, S. 19

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  28. Ib. S. 14 ff.

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  29. In: J üdische und deutsche Physik, Vorträge... hrsg. von Wilhelm Müller, Leipzig 1941, S. 21–56.

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  30. Ib. S. 22–23.

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  31. Ib. S. 22–24.

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  32. Ib. S. 23.

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  33. Judentum und Wissenschaft, Leipzig 1936; Jüdischer Geist in der Physik, in: Zeitschrift für die gesamte Naturwissenschaft, 5 (1939) S. 162–175; Die Lage der theoretischen Physik an den Universitäten, Ib. 6 (1940) S. 281–298; Grundsätzliches zur Eröffnung des Kolloquiums für theoretische Physik an der Universität München, in: Jüdische und deutsche Physik (Anm. 29) S. 5–20.

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  34. Grundsätzliches..., S. 9.

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  35. Die Lage der theoretischen Physik... S. 281.

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  36. Jüdischer Geist... S. 162; ebenso in: Grundsätzliches... S. 13.

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  37. Ib.

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  38. Alle Zitate in: Judentum und Wissenschaft, S. 52–53.

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  39. Jüdischer Geist... S. 166.

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  40. Judentum und Wissenschaft, S. 52.

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  41. Jüdischer Geist... S. 165.

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  42. Berlin 1941.

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  43. Th üring, S. 7.

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  44. Ib. S. 19.

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  45. Ib. S. 33–37.

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  46. “talmudische Inflationsphysik”, in: Die Lage der theoretischen Physik, S. 292.

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  47. Th üring, S. 38. 48. Ib.

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  48. Ib. S. 42.

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  49. Ib. S. 39–40.

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  50. Meine Antwort, Über die anti-relativitätstheoretische GmbH, in: Berliner Tageblatt, 26. August 1920.

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  51. Armin Hermann, Fr ühgeschichte der Quantentheorie, Mosbach 1969, S. 31.

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H. Nelkowski A. Hermann H. Poser R. Schrader R. Seiler

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Kleinert, A. (1979). Nationalistische und antisemitische ressentiments von wissenschaftlern gegen Einstein. In: Nelkowski, H., Hermann, A., Poser, H., Schrader, R., Seiler, R. (eds) Einstein Symposion Berlin. Lecture Notes in Physics, vol 100. Springer, Berlin, Heidelberg. https://doi.org/10.1007/3-540-09718-X_91

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