A methodology to leverage cross-sectional accelerometry to capture weather’s influence in active living research

Abstract

OBJECTIVES: While active living interventions focus on modifying urban design and built environment, weather variation, a phenomenon that perennially interacts with these environmental factors, is consistently underexplored. This study’s objective is to develop a methodology to link weather data with existing cross-sectional accelerometry data in capturing weather variation.

METHODS: Saskatoon’s neighbourhoods were classified into grid-pattern, fractured grid-pattern and curvilinear neighbourhoods. Thereafter, 137 Actical accelerometers were used to derive moderate to vigorous physical activity (MVPA) and sedentary behaviour (SB) data from 455 children in 25 sequential one-week cycles between April and June, 2010. This sequential deployment was necessary to overcome the difference in the ratio between the sample size and the number of accelerometers. A data linkage methodology was developed, where each accelerometry cycle was matched with localized (Saskatoonspecific) weather patterns derived from Environment Canada. Statistical analyses were conducted to depict the influence of urban design on MVPA and SB after factoring in localized weather patterns.

RESULTS: Integration of cross-sectional accelerometry with localized weather patterns allowed the capture of weather variation during a single seasonal transition. Overall, during the transition from spring to summer in Saskatoon, MVPA increased and SB decreased during warmer days. After factoring in localized weather, a recurring observation was that children residing in fractured grid-pattern neighbourhoods accumulated significantly lower MVPA and higher SB.

CONCLUSION: The proposed methodology could be utilized to link globally available cross-sectional accelerometry data with place-specific weather data to understand how built and social environmental factors interact with varying weather patterns in influencing active living.

Résumé

OBJECTIFS: Les interventions de promotion de la vie active cherchent surtout à modifier l’aménagement urbain et le milieu bâti, mais les variations météorologiques, un phénomène qui interagit perpétuellement avec ces facteurs environnementaux, sont systématiquement sousexplorées. Notre étude vise à élaborer une méthode pour relier les données météorologiques aux données transversales existantes obtenues par accélérométrie pour capter les variations météorologiques.

MÉTHODE: Nous avons classé les quartiers de Saskatoon en quartiers à agencement quadrillé, en quartiers scindés à agencement quadrillé et en quartiers à agencement curviligne. Par la suite, nous avons utilisé 137 accéléromètres Actical pour recueillir des données sur l’activité physique d’intensité modérée à élevée (APIME) et le comportement sédentaire (CS) auprès de 455 enfants au cours de 25 cycles séquentiels d’une semaine entre avril et juin 2010. Ce déploiement séquentiel était nécessaire pour surmonter la différence de ratio entre la taille de l’échantillon et le nombre d’accéléromètres. Nous avons élaboré une méthode de maillage de données où chaque cycle d’accélérométrie était assorti aux conditions atmosphériques locales (propres à Saskatoon) selon Environnement Canada. Nous avons mené des analyses statistiques pour dépeindre l’influence de l’aménagement urbain sur l’APIME et le CS après la prise en compte des conditions atmosphériques locales.

RÉSULTATS: L’intégration de l’accélérométrie transversale et des conditions atmosphériques locales a permis de saisir les variations météorologiques au cours d’une même transition saisonnière. Globalement, durant la transition du printemps à l’été à Saskatoon, l’APIME a augmenté et le CS a diminué les jours les plus chauds. Après la prise en compte des conditions météorologiques locales, nous avons observé à plusieurs reprises que les enfants vivant dans les quartiers scindés à agencement quadrillé présentaient cumulativement une APIME significativement plus faible et un CS significativement plus élevé.

CONCLUSION: La méthode proposée pourrait servir à relier des données transversales obtenues par accélérométrie disponibles mondialement et des données météorologiques propres à un lieu pour comprendre comment le milieu bâti et les facteurs de l’environnement social interagissent avec diverses conditions atmosphériques pour influencer la vie active.