Summary
Many factors influence bleeding during transurethral prostatic surgery. Some of these are unavoidable, while others can be avoided or corrected if the patient is carefully monitored by the anaesthetist. In many instances the resectionist can be given early warning of changes which are occurring so that he may bring the operation to an end.
Direct measurements of blood loss during transurethral prostatic surgery has proved invaluable, particularly in avoiding circulatory overload due to excessive blood transfusion. We have described a method of measuring blood loss which has proved practical as a routine operating room procedure.
Any factor which raises venous pressure will lead to haemorrhage during transurethral prostatic surgery. These include straining during general anaesthesia, shivering during spinal anaesthesia, and circulatory overload by absorption of irrigating fluid or excessive transfusion. The usefulness of careful monitoring of the central venous pressure has been clearly shown.
General anaesthesia for transurethral prostatic resection must be deep enough to produce absolute analgesia and to prevent contraction of the abdominal muscles during the resection. Shivering must be avoided under spinal anaesthesia, since this raises the venous pressure and increases haemorrhage. The use of vasopressors must also be avoided.
Resection time should be limited to one hour, since there is a disproportionate increase in blood loss after that time.
Résumé
Au cours de la résection transurétrale de la prostate, ľimportance des pertes sanguines est influencée par plusieurs facteurs. Parmi ceux-ci, certains sont inévitables, ďautres sont évitables et peuvent être corrigés si ľanesthésiste fait un enregistrement soigneux des signes vitaux de son malade. Dans bien des cas, en renseignant précocement ľopérateur de changements qui apparaissent, il pourra abréger ľopération.
En mesurant directement les pertes sanguines au cours de la chirurgie prostatique transurétrale, on a receuilli des renseignements très précieux pour ces malades et plus particulièrement en prévenant la surcharge de la circulation en donnant des quantités excessive de sang. Nous avons décrit une façon de mesurer les pertes sanguines qui s’est avérée une routine pratique de la salle ďopération.
Tout facteur susceptible ďaugmenter la tension veineuse va favoriser ľhémorragie au cours de la chirurgie de la prostate. Parmi ces facteurs, citons: des efforts au cours de ľanesthésie générale, des frissons au cours de ľanesthésie rachidienne, une surcharge de la circulation soit par absorption de ľeau ďirrigation soit par transfusions excessives. Nous avons clairement démontré ľutilité ďenregistrer minutieusement la tension veineuse centrale.
Pour la résection transurétrale de la prostate, ľanesthésie générale doit être assez profonde pour procurer une analgésie absolue et pour prévenir la contraction des muscles de ľabdomen durant la résection. Sous anesthésie rachidienne, il faut éviter les frissons car cela augmente la tension veineuse et favorise ľhémorragie. Chez ces malades, il ne faut pas employer de vasoconstricteurs.
La durée de la résection doit se limiter à une heure car, après une heure, les pertes sanguines augmentent de façon disproportionnée.
Article PDF
Similar content being viewed by others
References
Holt, J. P. The Collapse Factor in the Measurement of Venous Pressure. Am. J. Physiol.134: 292 (1941).
Taylor, R. O.;Maxson, E. C.;Carter, F. H.;Bethard, W.; &Prentiss, R. Volumetric, Gravimetric and Radio-isotope Determination of Fluid Transfer in Transurethral Prostatectomy. J. Urol.79: 490 (1958).
Author information
Authors and Affiliations
Rights and permissions
About this article
Cite this article
Desmond, J.W., Gordon, R.A. Bleeding during transurethral prostatic surgery. Can. Anaes. Soc. J. 16, 217–224 (1969). https://doi.org/10.1007/BF03004442
Issue Date:
DOI: https://doi.org/10.1007/BF03004442